11 jours sans un seul message… Et tout ça à cause d’un livre : Rêves de Gloire, de Roland C. Wagner. Tout le temps que je n’ai pas passé à dormir ou à vaquer à des obligations professionnelles ou personnelles, je les ai passé à lire ce roman. C’est de loin ce que Wagner a écrit de mieux et c’est un fan inconditionnel du grand Roland qui vous le dit. Comme ce bijou est inracontable, je vais seulement vous dire que :* ça se passe en Algérie entre 1961 et nos jours.* ce n’est pas la guerre d’Algérie que nous connaissons (mal) et Alger est incroyablement différente.* ça parle de rock, de punk mais ce n’est pas la musique que nous connaissons.* ce n’est pas un roman, ce sont plusieurs romans imbriqués.* c’est un roman uchronique, mais pas fantastique. Je le trouve très proche de 1941 Et si la France avait continué la Guerre par certains côtés. Ce pavé de 700 pages se déguste avec délectation. Je dis « déguste » car de par son intérêt, sa structure et sa complexité, on ne peut pas sepermettre d’en sauter une ligne. Et « délectation » car c’est un chef d’œuvre qui j’espère mettra Roland C. Wagner au rang des plus grands, toutes catégories confondues.Olivier 

Wagner - Rêves de gloire - Imagination à la demande

11 jours sans un seul message… Et tout ça à cause d’un livre : Rêves de Gloire, de Roland C. Wagner.

Tout le temps que je n’ai pas passé à dormir ou à vaquer à des obligations professionnelles ou personnelles, je les ai passé à lire ce roman. C’est de loin ce que Wagner a écrit de mieux et c’est un fan inconditionnel du grand Roland qui vous le dit.

Comme ce bijou est inracontable, je vais seulement vous dire que :
* ça se passe en Algérie entre 1961 et nos jours.
* ce n’est pas la guerre d’Algérie que nous connaissons (mal) et Alger est incroyablement différente.
* ça parle de rock, de punk mais ce n’est pas la musique que nous connaissons.
* ce n’est pas un roman, ce sont plusieurs romans imbriqués.
* c’est un roman uchronique, mais pas fantastique. Je le trouve très proche de 1941 Et si la France avait continué la Guerre par certains côtés.

Ce pavé de 700 pages se déguste avec délectation. Je dis « déguste » car de par son intérêt, sa structure et sa complexité, on ne peut pas sepermettre d’en sauter une ligne. Et « délectation » car c’est un chef d’œuvre qui j’espère mettra Roland C. Wagner au rang des plus grands, toutes catégories confondues.

Olivier

 

Publié le 26 décembre 2011

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