Je la trouve en plein renouveau. Des courants comme le Solarpunk ou le Hopepunk apportent une vraie bouffée d’air frais. Des autrices comme Becky Chambers, la reine de la SF contemporaine, ou, avant elle, Ursula K. Le Guin, ont ouvert la voie à une science-fiction plus humaniste, moins centrée sur la technique, voire moins académique. C’est ce courant-là qui m’intéresse aujourd’hui, celui qui s’empare des problématiques actuelles pour proposer autre chose que le désespoir.
Mathieu Bablet