[…] Voilà donc les bases que nous proposent les bases que nous proposent l'auteur dans un premier roman de Science-Fiction très réussi tant par l'intrigue, que par le style, très maîtrisé! C'est un roman très visuel, et ce qui est plaisant, c'est le changement graphique opéré lorsque l'auteur change de point de vue pour raconter l'histoire.   Ce qui rend la dernière scène particulièrement dynamique, presque digne d'une mise en page de BD, où l'on voit chaque case, presque digne d'une scène cinématographique que l'on pourrait filmer en champ/contre-champ! Ce qui pourrait gêner et qui transparaît (mais qui est assez implicite), c'est ce constat qui devient par inadvertance, discours sensiblement moralisateur que tiennent les robots vers la fin de l'ouvrage. Mais comment ne pas tenir un discours un tantinet moralisateur lorsque l'on parle de l'évolution chaotique de sa propre espèce. En tout cas, un bien belle réflexion sur le genre humain nous est donnée, sur le rôle des machines dans la société, sur la place de l'Homme dans le monde... Le roman se lit rapidement, il n'y a pas de temps mort, et le meilleur reste la fin assez dynamique pour s'achever en apothéose avec la dernière image sur laquelle se fige la fin de l'histoire! Si, il y a bien un petit bémol. Pour moi le roman se termine p241. Je trouve que les 3 pages qui suivent sont un peu superflue et n'apporte rien de plus à l'histoire! Elle sont là, en quelques mesures, pour réconforter le lecteur, mais je trouve qu'elles n'ont pas lieues d'être et qu'elles font un peu retomber ce final en apothéose. Un très bon premier roman, Un excellent roman de science-fiction, qui restera graver longtemps dans ma mémoire, comme une référence! Monsieur Gessler, j'attends votre prochain roman avec impatience! Lire l'intégralité de l'article

Gessler - Cygnis - La biblivore
[…] Voilà donc les bases que nous proposent les bases que nous proposent l'auteur dans un premier roman de Science-Fiction très réussi tant par l'intrigue, que par le style, très maîtrisé! C'est un roman très visuel, et ce qui est plaisant, c'est le changement graphique opéré lorsque l'auteur change de point de vue pour raconter l'histoire.

 

Ce qui rend la dernière scène particulièrement dynamique, presque digne d'une mise en page de BD, où l'on voit chaque case, presque digne d'une scène cinématographique que l'on pourrait filmer en champ/contre-champ! Ce qui pourrait gêner et qui transparaît (mais qui est assez implicite), c'est ce constat qui devient par inadvertance, discours sensiblement moralisateur que tiennent les robots vers la fin de l'ouvrage. Mais comment ne pas tenir un discours un tantinet moralisateur lorsque l'on parle de l'évolution chaotique de sa propre espèce. En tout cas, un bien belle réflexion sur le genre humain nous est donnée, sur le rôle des machines dans la société, sur la place de l'Homme dans le monde...

Le roman se lit rapidement, il n'y a pas de temps mort, et le meilleur reste la fin assez dynamique pour s'achever en apothéose avec la dernière image sur laquelle se fige la fin de l'histoire!

Si, il y a bien un petit bémol. Pour moi le roman se termine p241. Je trouve que les 3 pages qui suivent sont un peu superflue et n'apporte rien de plus à l'histoire! Elle sont là, en quelques mesures, pour réconforter le lecteur, mais je trouve qu'elles n'ont pas lieues d'être et qu'elles font un peu retomber ce final en apothéose.

Un très bon premier roman, Un excellent roman de science-fiction, qui restera graver longtemps dans ma mémoire, comme une référence!

Monsieur Gessler, j'attends votre prochain roman avec impatience!

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Publié le 14 décembre 2010

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