Vincent Gessler, un loup face aux robots Un trappeur prénommé « Syn », armé d’un fusil à visions multiples. Un loup pour compagnon, au pelage greffé de bandes synthétiques. « Et au milieu, bien droit sous la pluie, un robot solitaire. Il n’a pas d’arme et se contente de regarder Syn dans les yeux… » Praticien raffiné d’une science-fiction qui baigne les mondes de demain sur des rivages archaïques et activiste des littératures fantastiques en francophonie, le Genevois Vincent Gessler fait l’archéologie de notre futur dans son premier roman, Cygnis, paru chez l’éditeur français L’Atalante. Dans un univers effondré où les technologies « circulent d’un village à l’autre, portées par les trappeurs, les caravanes marchandes, les bandes armées », le roman déroule « l’histoire d’une étrange machine qui se réveille au cœur de la glace » et de « deux mondes qui basculent l’un vers l’autre dans le feu et le sang ». On est fan. Nic ULMI

Gessler - Cygnis - Edelweiss Mag Men
Vincent Gessler, un loup face aux robots Un trappeur prénommé « Syn », armé d’un fusil à visions multiples. Un loup pour compagnon, au pelage greffé de bandes synthétiques. « Et au milieu, bien droit sous la pluie, un robot solitaire. Il n’a pas d’arme et se contente de regarder Syn dans les yeux… » Praticien raffiné d’une science-fiction qui baigne les mondes de demain sur des rivages archaïques et activiste des littératures fantastiques en francophonie, le Genevois Vincent Gessler fait l’archéologie de notre futur dans son premier roman, Cygnis, paru chez l’éditeur français L’Atalante. Dans un univers effondré où les technologies « circulent d’un village à l’autre, portées par les trappeurs, les caravanes marchandes, les bandes armées », le roman déroule « l’histoire d’une étrange machine qui se réveille au cœur de la glace » et de « deux mondes qui basculent l’un vers l’autre dans le feu et le sang ». On est fan. Nic ULMI
Publié le 7 mai 2010

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