Plus de 400 pages pour le premier tome d’une série qui en comptera sept ! Ambitieux pour un premier roman. Mais le néophyte Régis Goddyn, par ailleurs professeur d’arts plastiques à l’Université d’Amiens, s’en sort vraiment bien. Bien sûr, le premier tome d’une heptalogie (c’est comme ça qu’on dit ?) est celui où on installe son univers, ses personnages, son intrigue. Ce qui, ici, n’enlève rien au plaisir de lecture. On s’attache déjà à Orville et Rosa, les deux héros. On s’imagine très bien le monde moyenâgeux (on est en 806, mais de notre ère ?). Et l’intrigue est palpitante. C’est une histoire de sang, le sang des rois, dispersé par l’adultère dans les veines de rejetons qu’une inquisition, la Garde, élimine sans pitié. Bref, on s’engouffre dans une lecture passionnante, tantôt à la vitesse d’un torrent, tantôt avec la majesté d’un fleuve. Jean-Claude Vantroyen - Le Soir  

Goddyn - Le sang des 7 Rois - Le Soir

Plus de 400 pages pour le premier tome d’une série qui en comptera sept ! Ambitieux pour un premier roman. Mais le néophyte Régis Goddyn, par ailleurs professeur d’arts plastiques à l’Université d’Amiens, s’en sort vraiment bien. Bien sûr, le premier tome d’une heptalogie (c’est comme ça qu’on dit ?) est celui où on installe son univers, ses personnages, son intrigue. Ce qui, ici, n’enlève rien au plaisir de lecture. On s’attache déjà à Orville et Rosa, les deux héros. On s’imagine très bien le monde moyenâgeux (on est en 806, mais de notre ère ?). Et l’intrigue est palpitante.
C’est une histoire de sang, le sang des rois, dispersé par l’adultère dans les veines de rejetons qu’une inquisition, la Garde, élimine sans pitié. Bref, on s’engouffre dans une lecture passionnante, tantôt à la vitesse d’un torrent, tantôt avec la majesté d’un fleuve.

Jean-Claude Vantroyen - Le Soir

 

Publié le 9 juillet 2013

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