J’ai lu mon tout premier Scalzi et je suis bien contente de l’avoir découvert sous la référence d’un « Jurassic Park » à la sauce Kaiju. Car oui, un Kaiju n’est pas un dinosaure, mais bel et bien un monstre [un monstre au sens “force de la nature” (merci wiki)] tout droit sorti de la culture japonaise. En gros c’est Godzilla, King Kong, voire meme certains Pokémon pour ne citer que les plus connus, donc rien à voir avec un T-Rex, c’est beaucoup, beaucoup, beaucoup plus gros !
Nous suivons ici Jamie, qui va se voir offrir un poste au sein d’une société protectrice de ces très grosses bébêtes qui sont menacées d’extinction ! Drôle de job, drôle de lieu, drôle de mission …
Je n’en dirai pas plus sur l’intrigue pour ne rien vous divulgâcher, mais sachez que si vous souhaitez de l’action, du dépaysement, de l’humour (beaucoup d’humour), et un livre bourré de références à la pop culture (prenez Twilight, ajoutez-y une pincée de Star Wars et mélangez le tout avec les films cités plus haut), c’est celui-ci qu’il vous faut.
J’extrapole un peu mais je ne suis pas si loin de la vérité !
En plus d’être un roman divertissant et sans prise de tête, on apprend plein de choses concernant l’écosystème de ces étranges créatures qui me faisaient flipper dans mon enfance : merci X-OR (levez la main ceux qui ont la ref !)
Il y a bien évidemment, sous couvert de drôlerie, de nombreuses réflexions autour du monde dans lequel nous vivons, et ça, j’aime beaucoup car c’est finement bien emmené sans tomber dans la complainte.
Perso je suis très contente d’avoir découvert cette plume. Ce roman est le premier et ne sera certainement pas le dernier de l’auteur que je me mettrai sous la dent.