Un monstre de bric et de broc lâché à la surface du monde, un psychotrope miracle qui décrète le couvre-feu neuronal, bref la boîte de Pandore du délire scientifique entrouverte, à Mauvais Genres, deux heures durant: le monstre, c’est bien évidemment, la créature de Frankenstein dont on fête, cette année, le deux centième anniversaire.
Le psychotrope se nomme Métaquine, il est au centre de l’imposante dystrophie éponyme conçu par notre invité de ce soir, le romancier suisse François Rouiller, un roman publié à l’Atalante.
« Une véritable comédie humaine » ; « un roman choral, […] presque une pièce de théâtre. » (François Angelier).
« De la hard science lisible » ; « d’une habileté stupéfiante » ; « Un roman à la fois très exigeant et très ludique, un page turner [aux] enjeux très élevés. » (Jean-Pierre Dionnet).
« Un gigantesque jeu, une quête […] dont tous les personnages petit à petit s’agrègent […], toujours les mêmes et en même temps toujours différents. […] Tout à fait remarquable. » (Jean-Luc Rivera).«
http://www.franceculture.fr/emissions/mauvais-genres/mauvais-genres-samedi-14-mai-2016