Vous l’aurez sans doute reconnu, Juliet Marillier s’est fortement inspirée du conte les cygnes sauvages d’ Andersen et des frères Grimm. L’auteure nous offre un magnifique voyage en terre d’ Eire, en un temps où les attaques des envahisseurs rythmaient les saisons, où la Foi Catholique prenait peu à peu le pas sur la vieille religion, où le Peuple des Fées faisait encore parti intégrante de la vie courante des hommes, les manipulant, les enlevant parfois dans leur monde pour les relâcher quelques années plus tard. J’ai trouvé le récit très beau, très poétique, le seul point noir étant la sensation de fin bâclée, comme si une fois les frères libérés de leur sort, l’auteur ne savait plus trop quoi écrire. Néanmoins Soeur des Cygnes reste une très belle histoire que j’ai vraiment apprécié, savourant chaque phrase, trépignant de savoir la suite à chaque fois que je devais lâcher le livre. De l'autre côté du miroir

Marillier - soeur des cygnes - autrecotedumiroir.net

Vous l’aurez sans doute reconnu, Juliet Marillier s’est fortement inspirée du conte les cygnes sauvages d’ Andersen et des frères Grimm. L’auteure nous offre un magnifique voyage en terre d’ Eire, en un temps où les attaques des envahisseurs rythmaient les saisons, où la Foi Catholique prenait peu à peu le pas sur la vieille religion, où le Peuple des Fées faisait encore parti intégrante de la vie courante des hommes, les manipulant, les enlevant parfois dans leur monde pour les relâcher quelques années plus tard. J’ai trouvé le récit très beau, très poétique, le seul point noir étant la sensation de fin bâclée, comme si une fois les frères libérés de leur sort, l’auteur ne savait plus trop quoi écrire. Néanmoins Soeur des Cygnes reste une très belle histoire que j’ai vraiment apprécié, savourant chaque phrase, trépignant de savoir la suite à chaque fois que je devais lâcher le livre.

De l'autre côté du miroir

Publié le 20 janvier 2010

à propos de la même œuvre