D’abord il y a la couv… Superbe travail, Bravo à l’Atalante et à Vincent Chong, j’adore, un parfait résumé de ce qui vous attend. Ensuite il y a le livre. Idée géniale mais périlleuse, on n’écrit pas des romans comme on pond un scénario de comics. Et donc, vient alors le talent…Correia s’éclate et nous emmène du coup la ou il veut. Dans son imaginaire, dans son monde pulpy rétro futur ou la magie accompagne les Thompsons automatiques et les Ford. Un mélange des genres et des styles qui auraient put faire un excellent jeu vidéo mais vite tourner à la mauvaise novélisation. Que nenni, l’auteur installe son univers au rythme d’une action qui ne cesse guère, gère ses codes et sa troupe de personnages avec maestria. Il ya une esthétique connu, du Sin City en couleur, du Gotham, le FBI traine dans le coin, les espionnes sont envoutantes et venimeuses, le tout est cadré et j’imagine bien un virtuose de DC ou de Marvel adapter le tout dans des cases. Mais Magie brute est, et restera un vrai bouquin de S.F écrit par un amateur qui dit fuck aux étiquettes et qui nous bombarde du zombie a Berlin et une magie très originale qui transforme ses utilisateurs en sup’. Ca aurait put partir en grand foutoir et…bah non, ça se dévore par chapitres courts et enlevés. A aucun moment je n’ai craint l’indigestion, je me suis laisser guider dans cette Fantasy(ie) urbaine. L’histoire se découvre sur le quatre de couv, quand vous l’aurez dans les mains, car si comme moi vous aimez les bons mélanges, les crossovers et l’ouverture a des genres « différents » vous ferez de Magie brute votre chouchou et vous attendrez sa suite et peut être l’autre série de l’auteur: The Monster hunter, ça a l’air de bien bourriner. Entre deux Jean Austen. Swamp.

Correia - Magie Brute - Unwalkers

D’abord il y a la couv…

Superbe travail, Bravo à l’Atalante et à Vincent Chong, j’adore, un parfait résumé de ce qui vous attend.

Ensuite il y a le livre. Idée géniale mais périlleuse, on n’écrit pas des romans comme on pond un scénario de comics.

Et donc, vient alors le talent…Correia s’éclate et nous emmène du coup la ou il veut. Dans son imaginaire, dans son monde pulpy rétro futur ou la magie accompagne les Thompsons automatiques et les Ford. Un mélange des genres et des styles qui auraient put faire un excellent jeu vidéo mais vite tourner à la mauvaise novélisation.

Que nenni, l’auteur installe son univers au rythme d’une action qui ne cesse guère, gère ses codes et sa troupe de personnages avec maestria.

Il ya une esthétique connu, du Sin City en couleur, du Gotham, le FBI traine dans le coin, les espionnes sont envoutantes et venimeuses, le tout est cadré et j’imagine bien un virtuose de DC ou de Marvel adapter le tout dans des cases. Mais Magie brute est, et restera un vrai bouquin de S.F écrit par un amateur qui dit fuck aux étiquettes et qui nous bombarde du zombie a Berlin et une magie très originale qui transforme ses utilisateurs en sup’.

Ca aurait put partir en grand foutoir et…bah non, ça se dévore par chapitres courts et enlevés.

A aucun moment je n’ai craint l’indigestion, je me suis laisser guider dans cette Fantasy(ie) urbaine.

L’histoire se découvre sur le quatre de couv, quand vous l’aurez dans les mains, car si comme moi vous aimez les bons mélanges, les crossovers et l’ouverture a des genres « différents » vous ferez de Magie brute votre chouchou et vous attendrez sa suite et peut être l’autre série de l’auteur: The Monster hunter, ça a l’air de bien bourriner.

Entre deux Jean Austen.

Swamp.

Publié le 28 juin 2012

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