Une fois encore, nous pouvons apprécier le trait nerveux et racé de Gess, mis en couleurs par Céline Bessonneau. Un graphisme qui sied parfaitement aux ambiances feutrées de certains salons parisiens, avant que ceux-ci soient la proie des monstres les plus fantasques Mention spéciale d'ailleurs pour la xénobie transformée en un gigantesque crapaud se nourrissant de l'électricité qui illumine la tour Eiffel, la seule encore disponible dans toute la ville lumière...
Une belle réussite dans une série qui a tout de l'ovni dans le monde de la BD : une chose est agréable : l'originalité est bien présente, et c'est une grande qualité par les temps qui courent...
Clark (28/04/2010)