En commençant ce tome ci, je n'étais pas sure de retrouver Orrec et Gry. Je n'avais lu que les premières phrases de la 4ème de couverture (parce que je n'aime pas les lire), et ils n'étaient pas mentionnés. J'avais donc simplement l'espoir de les retrouver sans en être sure. Mais après quelques pages, je voulais savoir. J'ai donc lu la 4ème de couverture en entier, et en voyant leurs deux noms, j'étais rassurée et j'ai continuer ma lecture le coeur léger.  Durant le premier tome, c'était Orrec qui nous racontait son histoire. Ici, c'est Némar, jeune fille appartenant à la maison du passemestre. Les débuts du livre sont assez durs, puisque nous apprenons la descente en enfer de la ville d'Ansul et surtout de ses habitants. Puis par la suite, nous suivons tout simplement l'histoire de Némar, sa vie de tous les jours avec cette peur constante. A travers Némar, nous apprenons également l'histoire de sa famille, les Galva, et celle du passemestre, et également leur religion. Puis un beau jour, Orrec et Gry font leur apparition, et à partir de ce moment, les évènements s'enchaînent. Au fur et à mesure du livre, nous apprenons à connaître ce couple. Car nous les avions quitté alors qu'ils étaient en fin d'adolescence dans le tome précédent. Alors que l'histoire de Némar se passe une vingtaine d'année après le départ d'Orrec et de Gry de leurs foyers. C'est donc un nouveau couple que nous rencontrons. Ils ne sont plus les enfants qu'ils étaient, mais ils sont deux adultes ayant traversé plusieurs pays, découverts de nombreuses coutumes. Orrec est devenu un poète connu et reconnu de tous, et Gry s'occupe toujours des animaux. J'ai adoré leur évolution, ce qu'ils sont devenus. Gry est certainement mon personnage préféré, son fort caractère, déjà aperçu dans Dons, est toujours présent, et elle n'hésite pas à dire haut et fort ce qu'elle pense. Le couple que forment Gry et Orrec est plein de douceur et d'amour, c'est ainsi que je le ressentais.  J'aime également beaucoup Némar. Néanmoins, il faut remarqué qu'elle incarne un personnage qui est assez cliché. Une orpheline qui est pris sous l'aile d'un vieux monsieur érudit, et qui possède un héritage particulier. Mais au final, tout est tellement bien tourné, et l'histoire si intéressante que ça ne m'a pas dérangé le moins du monde. Mais à travers ces personnages principaux, il y a également tous les autres qui sont présentés : Tirio, le passemestre, Ista également, Gudit ... chaque personnage à sa place et son rôle, et on ne peut que les apprécier.  Une chose que j'ai particulièrement aimé dans ce bouquin, c'est la place qu'ont les livres justement et la lecture. Ce peuple qui risque la mort pour préserver les derniers livres restants, je trouve ça tellement beau, courageux, et juste.  Ce tome est beaucoup plus intense que le précédent. Et si l'une des critiques que j'ai pu faire aux romans d'Ursula Le Guin, c'est à dire un certain manque d'action, oubliez la ! Ici nous en avons ! Tout est parfaitement rythmé, et on ne s'ennuie pas une seule seconde. Cette histoire n'est pas seulement un livre d'apprentissage. C'est aussi un livre sur tout un peuple opprimé qui se bat. C'est aussi un livre dans lequel la religion est présente et importante. Bref, c'est une superbe histoire, magnifiquement contée.  Si j'avais adoré le premier tome, celui ci m'a encore plus touchée, c'est un véritable coup de coeur.   Olya - olyaolenka.over-blog.com

Le Guin - Voix - olyaolenka.over-blog.com
En commençant ce tome ci, je n'étais pas sure de retrouver Orrec et Gry. Je n'avais lu que les premières phrases de la 4ème de couverture (parce que je n'aime pas les lire), et ils n'étaient pas mentionnés. J'avais donc simplement l'espoir de les retrouver sans en être sure. Mais après quelques pages, je voulais savoir. J'ai donc lu la 4ème de couverture en entier, et en voyant leurs deux noms, j'étais rassurée et j'ai continuer ma lecture le coeur léger. 

Durant le premier tome, c'était Orrec qui nous racontait son histoire. Ici, c'est Némar, jeune fille appartenant à la maison du passemestre. Les débuts du livre sont assez durs, puisque nous apprenons la descente en enfer de la ville d'Ansul et surtout de ses habitants.

Puis par la suite, nous suivons tout simplement l'histoire de Némar, sa vie de tous les jours avec cette peur constante. A travers Némar, nous apprenons également l'histoire de sa famille, les Galva, et celle du passemestre, et également leur religion.

Puis un beau jour, Orrec et Gry font leur apparition, et à partir de ce moment, les évènements s'enchaînent. Au fur et à mesure du livre, nous apprenons à connaître ce couple. Car nous les avions quitté alors qu'ils étaient en fin d'adolescence dans le tome précédent. Alors que l'histoire de Némar se passe une vingtaine d'année après le départ d'Orrec et de Gry de leurs foyers. C'est donc un nouveau couple que nous rencontrons. Ils ne sont plus les enfants qu'ils étaient, mais ils sont deux adultes ayant traversé plusieurs pays, découverts de nombreuses coutumes. Orrec est devenu un poète connu et reconnu de tous, et Gry s'occupe toujours des animaux.

J'ai adoré leur évolution, ce qu'ils sont devenus. Gry est certainement mon personnage préféré, son fort caractère, déjà aperçu dans Dons, est toujours présent, et elle n'hésite pas à dire haut et fort ce qu'elle pense. Le couple que forment Gry et Orrec est plein de douceur et d'amour, c'est ainsi que je le ressentais. 

J'aime également beaucoup Némar. Néanmoins, il faut remarqué qu'elle incarne un personnage qui est assez cliché. Une orpheline qui est pris sous l'aile d'un vieux monsieur érudit, et qui possède un héritage particulier. Mais au final, tout est tellement bien tourné, et l'histoire si intéressante que ça ne m'a pas dérangé le moins du monde.

Mais à travers ces personnages principaux, il y a également tous les autres qui sont présentés : Tirio, le passemestre, Ista également, Gudit ... chaque personnage à sa place et son rôle, et on ne peut que les apprécier. 

Une chose que j'ai particulièrement aimé dans ce bouquin, c'est la place qu'ont les livres justement et la lecture. Ce peuple qui risque la mort pour préserver les derniers livres restants, je trouve ça tellement beau, courageux, et juste. 

Ce tome est beaucoup plus intense que le précédent. Et si l'une des critiques que j'ai pu faire aux romans d'Ursula Le Guin, c'est à dire un certain manque d'action, oubliez la ! Ici nous en avons ! Tout est parfaitement rythmé, et on ne s'ennuie pas une seule seconde.

Cette histoire n'est pas seulement un livre d'apprentissage. C'est aussi un livre sur tout un peuple opprimé qui se bat. C'est aussi un livre dans lequel la religion est présente et importante. Bref, c'est une superbe histoire, magnifiquement contée. 

Si j'avais adoré le premier tome, celui ci m'a encore plus touchée, c'est un véritable coup de coeur.

 

Olya - olyaolenka.over-blog.com

Publié le 16 juin 2011

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