Qui commence dans un bar. Alors que Chi est en train de prendre le thé, une escarmouche se déclenche et une des jeunes femmes au coeur de l’action se bat avec une aisance, une rapidité, une grâce qui n’est pas sans rappeler des souvenirs à Presque Brillante, l’oiseau qui accompagne l’adelphe.
Comme cela les intrigue, adelphe et oiseau décide de suivre la combattante et sa soeur, qui se rendent vers Quais-de-Bétoines. La route est une nouvelle fois l’occasion d’enrichir les Archives en prenant toutes les histoires qui se racontent, sur fond de légendes mais aussi de routes emplies de brigands, mettant à chaque instant la vie des voyageurs.
Rapidement rejoint par un couple connaissant parfaitement la région, l’équipe se rapproche rapidement de la destination.
Nous restons dans ce dernier volet de la trilogie dans ce ton qui m’avait bien plu à savoir celui du conte. La ballade donne l’impression que le lecteur / la lectrice se trouve au sein de ce groupe. Cette narration rend l’histoire douce malgré les combats et les défis auxquels sont confrontés les personnages.
Le format de la novella se prête bien à l’exercice de Nghi Vo, permettant en quelques pages de planter un décor et de pousser la découverte sur un rythme différent de ce que nous voyons d’habitude.
Une série bien sympathique, à découvrir.