Un jeune Nantais publie son premier roman   Camille Leboulanger, étudiant à Nantes depuis deux ans, publie Enfin la nuit, aux éditions l'Atalante.   Trois questions à... Camille Leboulanger, 20 ans, ancien étudiant en classe ciné-sup au lycée Guist'Hau.   - Pourquoi avez-vous décidé de publier un roman ? - J'écris, depuis l'enfance, des poèmes et des nouvelles. Puis, j'en ai eu assez des textes courts et j'ai décidé d'écrire un véritable roman à la fin de l'année 2009, que j'ai terminé l'été dernier. C'était un peu un défi personnel : j'ai dû me forcer à écrire tous les jours, au moins 2 000 mots et à me couper du monde réel. Mais je me suis rendu compte qu'une fois dans ma bulle, je pouvais écrire dans quasiment n'importe quelles conditions.   - De quoi parle votre roman ? - L'histoire est simple : un jour, la nuit ne tombe plus. C'est le film Hiroshima mon amour d'Alain Resnais qui m'a inspiré ce scénario. Ce n'est pas vraiment un récit post-apocalyptique, plutôt une expérience où la mort rôde et où les personnages sont dans l'attente. Il y a des choses en commun avec La route de Cormac McCarthy que j'ai lu un an avant d'écrire mon livre et que j'ai beaucoup aimé.   -Vous vous destiné donc à une carrière d'écrivain ? - Peut-être. Je viens de terminer mon second roman que j'ai envoyé à l'Atalante et dont j'attends un retour. J'ai été étudiant pendant deux ans en classe préparatoire ciné-sup au lycée Guist'Hau et je ne ferme pas la porte aux métiers du cinéma. Je pourrais, par exemple, être scénariste. J'aime écrire de manière un peu détachée, au présent et sans rentrer trop dans les détails.   L. C. Ouest France

Leboulanger - Enfin la nuit - Ouest France
Un jeune Nantais publie son premier roman
 
Camille Leboulanger, étudiant à Nantes depuis deux ans, publie Enfin la nuit, aux éditions l'Atalante.
 
Trois questions à... Camille Leboulanger, 20 ans, ancien étudiant en classe ciné-sup au lycée Guist'Hau.
 
- Pourquoi avez-vous décidé de publier un roman ?
- J'écris, depuis l'enfance, des poèmes et des nouvelles. Puis, j'en ai eu assez des textes courts et j'ai décidé d'écrire un véritable roman à la fin de l'année 2009, que j'ai terminé l'été dernier. C'était un peu un défi personnel : j'ai dû me forcer à écrire tous les jours, au moins 2 000 mots et à me couper du monde réel. Mais je me suis rendu compte qu'une fois dans ma bulle, je pouvais écrire dans quasiment n'importe quelles conditions.
 
- De quoi parle votre roman ?
- L'histoire est simple : un jour, la nuit ne tombe plus. C'est le film Hiroshima mon amour d'Alain Resnais qui m'a inspiré ce scénario. Ce n'est pas vraiment un récit post-apocalyptique, plutôt une expérience où la mort rôde et où les personnages sont dans l'attente. Il y a des choses en commun avec La route de Cormac McCarthy que j'ai lu un an avant d'écrire mon livre et que j'ai beaucoup aimé.
 
-Vous vous destiné donc à une carrière d'écrivain ?
- Peut-être. Je viens de terminer mon second roman que j'ai envoyé à l'Atalante et dont j'attends un retour. J'ai été étudiant pendant deux ans en classe préparatoire ciné-sup au lycée Guist'Hau et je ne ferme pas la porte aux métiers du cinéma. Je pourrais, par exemple, être scénariste. J'aime écrire de manière un peu détachée, au présent et sans rentrer trop dans les détails.
 

L. C.
Ouest France

Publié le 10 août 2011

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