La science fiction allemande est plutôt méconnue, mais elle recèle une perle : Andréas Eschbach. Ce jeune écrivain s'est fait connaître dès 1995, il a remporté de nombreux prix et l'un de ses romans, Jesus Vidéo, a été adapté pour la télévision. On dit que pour faire un roman de science fiction, il faut d'abord une bonne idée, lui en met au moins une dizaine dans chacune de ses oeuvres ! Il est installé en Bretagne depuis 2003, et vit de sa plume dès la parution de son premier roman, Des milliards de tapis de cheveux, qui lui a valu une renommée internationale. Il y cultive l'art de raconter des évènements galactiques à travers des destinées de gens ordinaires, développant une réflexion sur le sens des "vies minuscules" au sein d'un grand dessein ou des convulsions des empires. Sur une lointaine planète isolée, les hommes tissent de père en fils des tapis avec les cheveux de leurs femmes, destinés à orner le Palais de l'Empereur. Un Empereur dont après-tout, personne n'a plus de nouvelles depuis bien longtemps... Quand la tradition heurte la réalité, des detins se déchirent et les familles se brisent sur une minuscule poussière d'étoile dont nul ne se soucie ! Aux éditions L'Atalante.   La Dépêche du Midi, 21 janvier 2009.     

Eschbach - Des milliards de tapis de cheveux - La Dépêche du midi

La science fiction allemande est plutôt méconnue, mais elle recèle une perle : Andréas Eschbach.

Ce jeune écrivain s'est fait connaître dès 1995, il a remporté de nombreux prix et l'un de ses romans, Jesus Vidéo, a été adapté pour la télévision. On dit que pour faire un roman de science fiction, il faut d'abord une bonne idée, lui en met au moins une dizaine dans chacune de ses oeuvres !

Il est installé en Bretagne depuis 2003, et vit de sa plume dès la parution de son premier roman, Des milliards de tapis de cheveux, qui lui a valu une renommée internationale.

Il y cultive l'art de raconter des évènements galactiques à travers des destinées de gens ordinaires, développant une réflexion sur le sens des "vies minuscules" au sein d'un grand dessein ou des convulsions des empires. Sur une lointaine planète isolée, les hommes tissent de père en fils des tapis avec les cheveux de leurs femmes, destinés à orner le Palais de l'Empereur. Un Empereur dont après-tout, personne n'a plus de nouvelles depuis bien longtemps... Quand la tradition heurte la réalité, des detins se déchirent et les familles se brisent sur une minuscule poussière d'étoile dont nul ne se soucie ! Aux éditions L'Atalante.  

La Dépêche du Midi, 21 janvier 2009. 

 

 

Publié le 3 février 2009

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