Tout amateur de fantasy a au moins entendu une fois parler des “Annales du Disque Monde”, cette série de livres du britannique Terry Prattchet… Du moins je l’espère. Pour les autres, sachez qu’il s’agit d’une série de fantasy burlesque/humoristique qui prends le contre-pied de toute la tradition med-fan (médiéval fantastique) initiée depuis Tolkien. On y retrouve évidemment les créatures fantastiques habituelles : des nains, trolls, golems, mages et monstres divers mais ceux-ci sont dépeins d’une façon totalement décalée. Ainsi par exemple la magie ne fonctionne pas toujours et certains mages peuvent être terriblement mauvais (pas comme Voldemort j’entends mais comme quelqu’un qui est très nul dans ce qu’il fait)… Bref aujourd’hui nous allons donc parler du premier volume de cette série que j’aime particulièrement et qui a l’avantage (non négligeable de se bonifier avec le temps (ce qui mérite d’être souligné n’est-ce pas ?).   Ce que j’en ai pensé : La huitième couleur est le premier volume des Annales du Disque Monde, une série de livres à l’univers burlesque, rafraîchissante et teinté de dérision. Il se déroule dans la célèbre et dégoûtante ville d’Ankh-Morpork, ville où l’on trouve des guildes pour tout et n’importe quoi… Forcément, les habitants de cette ville dangereuse sont totalement blasés. Oui, ils ont tout vu… Mais un élément nouveau va tout de même s’insinuer dans leur quotidien : un touriste. S’en suit des péripéties roccambolesques, drôles et savoureuses nous emmenant à la découverte de ce disque-monde. Terry Pratchett dévoile des trésors de créativité et d’imagination pour rendre cette aventure mémorable. Mention spéciale aux incartades du narrateur, véritable conteur, qui n’hésite pas à nous donner des explications plus farfelues les unes que les autres sur les lois régissant ce monde imaginaire et un peu rock’n’roll. Le style peu parfois sembler un peu touffu voir fouillis, les personnages difficiles à appréhender, mais croyez-moi ce livre vaut le détour. Je ne saurai que trop vous conseiller les Annales du Disque-Monde qui me tire encore maintenant des larmes tant c’est amusant.   Angie Shelf

Pratchett - La huitième couleur - Angie Shelf
Tout amateur de fantasy a au moins entendu une fois parler des “Annales du Disque Monde”, cette série de livres du britannique Terry Prattchet… Du moins je l’espère. Pour les autres, sachez qu’il s’agit d’une série de fantasy burlesque/humoristique qui prends le contre-pied de toute la tradition med-fan (médiéval fantastique) initiée depuis Tolkien. On y retrouve évidemment les créatures fantastiques habituelles : des nains, trolls, golems, mages et monstres divers mais ceux-ci sont dépeins d’une façon totalement décalée. Ainsi par exemple la magie ne fonctionne pas toujours et certains mages peuvent être terriblement mauvais (pas comme Voldemort j’entends mais comme quelqu’un qui est très nul dans ce qu’il fait)… Bref aujourd’hui nous allons donc parler du premier volume de cette série que j’aime particulièrement et qui a l’avantage (non négligeable de se bonifier avec le temps (ce qui mérite d’être souligné n’est-ce pas ?).
 

Ce que j’en ai pensé :

La huitième couleur est le premier volume des Annales du Disque Monde, une série de livres à l’univers burlesque, rafraîchissante et teinté de dérision. Il se déroule dans la célèbre et dégoûtante ville d’Ankh-Morpork, ville où l’on trouve des guildes pour tout et n’importe quoi… Forcément, les habitants de cette ville dangereuse sont totalement blasés. Oui, ils ont tout vu… Mais un élément nouveau va tout de même s’insinuer dans leur quotidien : un touriste. S’en suit des péripéties roccambolesques, drôles et savoureuses nous emmenant à la découverte de ce disque-monde.

Terry Pratchett dévoile des trésors de créativité et d’imagination pour rendre cette aventure mémorable. Mention spéciale aux incartades du narrateur, véritable conteur, qui n’hésite pas à nous donner des explications plus farfelues les unes que les autres sur les lois régissant ce monde imaginaire et un peu rock’n’roll.

Le style peu parfois sembler un peu touffu voir fouillis, les personnages difficiles à appréhender, mais croyez-moi ce livre vaut le détour. Je ne saurai que trop vous conseiller les Annales du Disque-Monde qui me tire encore maintenant des larmes tant c’est amusant.

 

Angie Shelf

Publié le 4 juin 2012

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