Décidément, depuis quelques temps, L’Atalante semble abonner au thriller SF. J’dis ça, ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre, je suis plutôt client ! C’est ainsi que quelques mois avant Amortels, l’éditeur nantais publiait L’Entité 0247. Sauf que cette fois-ci, ce n’est pas tellement du côté de Richard Morgan qu’il faut aller voir, puisque l’intrigue se déroule de nos jours. Le côté SF, lui, provient d’une brèche qui mène vers, vers… un ailleurs.   Pour être honnête, la première traduction en France de Patrick Lee évoque immanquablement Fringe. Pour faire court, L’entité 0247 aurait pu être un excellent épisode de la série télé du très surestimé J.J. Abrams. Tout y est et un peu plus encore : les objets bizarres, les savants fous, le héros au passé trouble mais à la gâchette facile, les armes destructrices, la jolie fille en détresse, le méchant machiavélique. Ajoutez que, comme dans tout bon thriller qui se respecte, on est aspiré dès les premières pages par le rythme trépidant basé sur des scènes explosives et des chapitres très courts… On tourne les pages, sans difficultés, sans longueurs, avec juste l’envie de passer un agréable moment et de connaître le fin mot de l’histoire. La recette est éculée, mais elle marche, et nous avec.   Alors qu’un troisième tome vient de voir le jour outre-Atlantique, le deuxième opus traversera la brèche pour s’installer dans nos contrées dès le mois d’avril. Vivement avril !   7/10 Une bonne surprise ! L’Entité 2047 marque le début d’une série qu’on imagine longue et profuse. Si elle garde ce niveau de qualité, nul n’ira s’en plaindre. Surtout pas moi !   Simatural Critic blog

Lee - L'entité 0247 - Critic blog
Décidément, depuis quelques temps, L’Atalante semble abonner au thriller SF. J’dis ça, ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre, je suis plutôt client ! C’est ainsi que quelques mois avant Amortels, l’éditeur nantais publiait L’Entité 0247. Sauf que cette fois-ci, ce n’est pas tellement du côté de Richard Morgan qu’il faut aller voir, puisque l’intrigue se déroule de nos jours. Le côté SF, lui, provient d’une brèche qui mène vers, vers… un ailleurs.
 
Pour être honnête, la première traduction en France de Patrick Lee évoque immanquablement Fringe. Pour faire court, L’entité 0247 aurait pu être un excellent épisode de la série télé du très surestimé J.J. Abrams. Tout y est et un peu plus encore : les objets bizarres, les savants fous, le héros au passé trouble mais à la gâchette facile, les armes destructrices, la jolie fille en détresse, le méchant machiavélique. Ajoutez que, comme dans tout bon thriller qui se respecte, on est aspiré dès les premières pages par le rythme trépidant basé sur des scènes explosives et des chapitres très courts… On tourne les pages, sans difficultés, sans longueurs, avec juste l’envie de passer un agréable moment et de connaître le fin mot de l’histoire. La recette est éculée, mais elle marche, et nous avec.
 
Alors qu’un troisième tome vient de voir le jour outre-Atlantique, le deuxième opus traversera la brèche pour s’installer dans nos contrées dès le mois d’avril. Vivement avril !
 
7/10 Une bonne surprise ! L’Entité 2047 marque le début d’une série qu’on imagine longue et profuse. Si elle garde ce niveau de qualité, nul n’ira s’en plaindre. Surtout pas moi !
 
Simatural
Publié le 9 mai 2012

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