J’avais annoncé que je n’étais pas certaine de vouloir lire Zoé, craignant que l’auteur étire la sauce jusqu’à en faire de l’eau. Je reviens sur cette annonce : je ne me suis pas ennuyée une seule seconde, me délectant à chaque page de la tournure d’esprit de Zoé. On devine sans peine que l’auteur a une fille adolescente au caractère bien trempé (et je soupçonne l’auteur d’avoir voulu faire plaisir à sa fille en écrivant ce roman… si c’est le cas, il a bien fait). J’ai particulièrement apprécié le soin apporté à décrire la période difficile qu’est l’adolescence, avec ses espoirs, ses souffrances et ses incertitudes, loin des guerres intergalactiques et des luttes de pouvoir. Cela m’a presque rassurée de voir que, quels que soient l’époque et l’endroit, certaines choses ne changent pas. C’est décidé : si Scalzi publie d’autres romans dans le même univers, je les lirai. Si ces autres romans sont traduits en français, je les lirai aussi. Vous l’avez compris : je suis définitivement vendue. Je me permets donc de me rouler à terre de joie encore une fois et sans restriction, et ce chaque fois que je lirai cet auteur. Pascale Raud  

Scalzi - Zoé - Solaris n°174
J’avais annoncé que je n’étais pas certaine de vouloir lire Zoé, craignant que l’auteur étire la sauce jusqu’à en faire de l’eau. Je reviens sur cette annonce : je ne me suis pas ennuyée une seule seconde, me délectant à chaque page de la tournure d’esprit de Zoé. On devine sans peine que l’auteur a une fille adolescente au caractère bien trempé (et je soupçonne l’auteur d’avoir voulu faire plaisir à sa fille en écrivant ce roman… si c’est le cas, il a bien fait). J’ai particulièrement apprécié le soin apporté à décrire la période difficile qu’est l’adolescence, avec ses espoirs, ses souffrances et ses incertitudes, loin des guerres intergalactiques et des luttes de pouvoir. Cela m’a presque rassurée de voir que, quels que soient l’époque et l’endroit, certaines choses ne changent pas.

C’est décidé : si Scalzi publie d’autres romans dans le même univers, je les lirai. Si ces autres romans sont traduits en français, je les lirai aussi. Vous l’avez compris : je suis définitivement vendue. Je me permets donc de me rouler à terre de joie encore une fois et sans restriction, et ce chaque fois que je lirai cet auteur.

Pascale Raud

 

Publié le 5 novembre 2010

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