Et voilà, le dernier tome de la trilogie est lu. De nouveau un très bon tome qui m’a emporté et m’a fait rêver. Je suis conquise par cette série, pas de doute. Cette fois, le petit groupe est dans l’impasse pour trouver le 3e livre, Eyver ne pouvant plus les aider pour l’instant (cf. tome 2). Ils ne peuvent donc pas déchiffrer le carnet de Mélior, un des trois Chébériens ayant caché les livres sur Terre, en compagnie de Larchael et Suméor. Mélior a en effet laissé des indices pour retrouver les livres dans un carnet de notes, qu’Eyver traduit décortique depuis le premier tome. Ainsi donc, les quatre jeunes doivent réfléchir par eux-même pour trouver où Larchael aurait caché le dernier livre, et ce n’est clairement pas une mince affaire, d’autant qu’ils n’ont pas d’indices. Fort heureusement, il leur est possible d’entrer dans la vie du Chébérien, par le biais de sa fille. […] Le quatuor fait connaissance avec Lodan et son village, des Chébériens et des métis présents sur Terre depuis plus longtemps encore. Ils étaient en lien avec Larchael, le second porteur de livre, afin de faire des recherches dans un désert au Pérou. On s’en doute vite, ce tome va se dérouler en partie hors de la France, au Pérou plus précisément, non loin des tracés de Nazca, en compagnie de Lodan. Mais Riguel, le frère de ce dernier, n’accepte pas vraiment l’arrivée des jeunes car ils pourraient attirer l’Avaleur de Monde sur la petite communauté, restée jusque-là hors de danger, et intouchée par cette entité […]. Encore une fois, on en apprend un peu plus sur Chébérith, les régions, les animaux qui les peuplent, les origines de Zec et Eden, ainsi que sur les raisons de la présence de tant d’autres Chébériens sur Terre. Comme dans les deux premiers tomes, Zec partage son ressenti des évènements via son blog, sans entrer dans les détails. C’est plaisant à lire, tout comme les commentaires de proches qu’il a en réponses à ses articles. Ainsi, on a des informations sur ce qu’il se passe ou s’est passé de façon rapide, sans que ça ne s’étale dans le récit en lui-même. C’est évidemment un tome de réponses, tout s’éclaircit, se conclut, même le problème de l’Avaleur de Mondes. Carina Rozenfeld parvient très bien à conclure sa trilogie, laissant une pointe de mystère concernant la décision finale de Zec et Eden (tiraillés entre leur vie humaine et Chébérith). Ainsi donc, La quête des Livres-Monde est une jolie trilogie à l’univers intéressant et original qui nous entraine facilement. Je ne peux que la conseiller, vraiment.   Karine N.   Encre Chimérique

Rozenfeld - Le livre du temps - Encre Chimérique

Et voilà, le dernier tome de la trilogie est lu. De nouveau un très bon tome qui m’a emporté et m’a fait rêver. Je suis conquise par cette série, pas de doute. Cette fois, le petit groupe est dans l’impasse pour trouver le 3e livre, Eyver ne pouvant plus les aider pour l’instant (cf. tome 2). Ils ne peuvent donc pas déchiffrer le carnet de Mélior, un des trois Chébériens ayant caché les livres sur Terre, en compagnie de Larchael et Suméor. Mélior a en effet laissé des indices pour retrouver les livres dans un carnet de notes, qu’Eyver traduit décortique depuis le premier tome.

Ainsi donc, les quatre jeunes doivent réfléchir par eux-même pour trouver où Larchael aurait caché le dernier livre, et ce n’est clairement pas une mince affaire, d’autant qu’ils n’ont pas d’indices. Fort heureusement, il leur est possible d’entrer dans la vie du Chébérien, par le biais de sa fille.

[…] Le quatuor fait connaissance avec Lodan et son village, des Chébériens et des métis présents sur Terre depuis plus longtemps encore. Ils étaient en lien avec Larchael, le second porteur de livre, afin de faire des recherches dans un désert au Pérou.

On s’en doute vite, ce tome va se dérouler en partie hors de la France, au Pérou plus précisément, non loin des tracés de Nazca, en compagnie de Lodan. Mais Riguel, le frère de ce dernier, n’accepte pas vraiment l’arrivée des jeunes car ils pourraient attirer l’Avaleur de Monde sur la petite communauté, restée jusque-là hors de danger, et intouchée par cette entité […]. Encore une fois, on en apprend un peu plus sur Chébérith, les régions, les animaux qui les peuplent, les origines de Zec et Eden, ainsi que sur les raisons de la présence de tant d’autres Chébériens sur Terre.

Comme dans les deux premiers tomes, Zec partage son ressenti des évènements via son blog, sans entrer dans les détails. C’est plaisant à lire, tout comme les commentaires de proches qu’il a en réponses à ses articles. Ainsi, on a des informations sur ce qu’il se passe ou s’est passé de façon rapide, sans que ça ne s’étale dans le récit en lui-même.

C’est évidemment un tome de réponses, tout s’éclaircit, se conclut, même le problème de l’Avaleur de Mondes. Carina Rozenfeld parvient très bien à conclure sa trilogie, laissant une pointe de mystère concernant la décision finale de Zec et Eden (tiraillés entre leur vie humaine et Chébérith).

Ainsi donc, La quête des Livres-Monde est une jolie trilogie à l’univers intéressant et original qui nous entraine facilement. Je ne peux que la conseiller, vraiment.

 

Karine N.

 

Encre Chimérique

Publié le 3 avril 2014

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