J'ai commencé ma découverte d'Anne Fakhouri par NarcoGenèse bien que je lorgnais déjà depuis un moment sur le Clairvoyage suite à une chronique très élogieuse de Simatural. J'ai été tellement enchantée par Narcognèse que j'ai poursuivi mes lectures par le Clairvoyage et par La brumes des Jours. La question de savoir si j'ai aimé ne se pose même pas ! Et voilà qu'Anne Fakhouri sort un roman L'horloge du temps perdu toujours chez l'Atalante dans la collection le Maedre, c'est à dire la collection jeunesse. Théo se retrouve dans le corps de son père, à vivre une vie qu'il ne connaît absolument pas, à découvrir une grand-mère qu'il n'a jamais vu ni jamais entendu la moindre anecdote. Il sait juste qu'il a un rôle à jouer dans ce bond dans le passé dans le corps de son père, il doit empêcher la mort de quelqu'un, à lui de découvrir qui et comment remédier à inéluctable. Le pauvre Théo va devoir apprivoiser un corps qu'il ne maîtrise pas et s'acclimater à une époque dont ils ne connaît pas les codes, ni les expressions et s'adapter au monde des années 80, ce qui n'est pas toujours aisé pour un enfant du 21e siècle. Pour ma part, j'ai été très, trop, sensible aux sujets abordés dans ce livre, surtout la question sur les liens d'amitiés construits dans notre enfance, sont ils indéfectible ? Je crois que chacun détiendra sa propre réponse au travers de cette lecture. Ce livre aborde aussi le thème des relations enfants/parents, cette communication difficile qu'on remet peut-être trop facilement au décalage générationnel mais qui s'explique souvent par l'éducation donnée, l'environnement familial des parents, mais qu'on ignore bien souvent, faute de partage bien souvent. Ne devenez pas le parent que vous ne souhaiteriez en aucun être, ne reproduisez pas ce qui vous a tant fait souffrir. Certes, des adages maintes fois entendus et répétés, mais Anne Fakhouri l’aborde encore une fois avec intelligence. A travers le regard de Théo, qui justement commence à comprendre son père par cet emprunt de corps.  Encore une fois, je n'ai pas été déçue par Anne Fakhouri. Elle sait donner une sensibilité qui lui est propre à chacun de ces textes, et qui me parle, toujours immanquablement...   Cornwall  

Fakhouri - L'Horloge du temps perdu - La Prophétie des ânes

J'ai commencé ma découverte d'Anne Fakhouri par NarcoGenèse bien que je lorgnais déjà depuis un moment sur le Clairvoyage suite à une chronique très élogieuse de Simatural. J'ai été tellement enchantée par Narcognèse que j'ai poursuivi mes lectures par le Clairvoyage et par La brumes des Jours. La question de savoir si j'ai aimé ne se pose même pas ! Et voilà qu'Anne Fakhouri sort un roman L'horloge du temps perdu toujours chez l'Atalante dans la collection le Maedre, c'est à dire la collection jeunesse.

Théo se retrouve dans le corps de son père, à vivre une vie qu'il ne connaît absolument pas, à découvrir une grand-mère qu'il n'a jamais vu ni jamais entendu la moindre anecdote. Il sait juste qu'il a un rôle à jouer dans ce bond dans le passé dans le corps de son père, il doit empêcher la mort de quelqu'un, à lui de découvrir qui et comment remédier à inéluctable.

Le pauvre Théo va devoir apprivoiser un corps qu'il ne maîtrise pas et s'acclimater à une époque dont ils ne connaît pas les codes, ni les expressions et s'adapter au monde des années 80, ce qui n'est pas toujours aisé pour un enfant du 21e siècle.

Pour ma part, j'ai été très, trop, sensible aux sujets abordés dans ce livre, surtout la question sur les liens d'amitiés construits dans notre enfance, sont ils indéfectible ? Je crois que chacun détiendra sa propre réponse au travers de cette lecture.

Ce livre aborde aussi le thème des relations enfants/parents, cette communication difficile qu'on remet peut-être trop facilement au décalage générationnel mais qui s'explique souvent par l'éducation donnée, l'environnement familial des parents, mais qu'on ignore bien souvent, faute de partage bien souvent. Ne devenez pas le parent que vous ne souhaiteriez en aucun être, ne reproduisez pas ce qui vous a tant fait souffrir. Certes, des adages maintes fois entendus et répétés, mais Anne Fakhouri l’aborde encore une fois avec intelligence. A travers le regard de Théo, qui justement commence à comprendre son père par cet emprunt de corps. 


Encore une fois, je n'ai pas été déçue par Anne Fakhouri. Elle sait donner une sensibilité qui lui est propre à chacun de ces textes, et qui me parle, toujours immanquablement...
 
Cornwall

 

Publié le 22 avril 2013

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