Comme chaque année depuis un certain temps maintenant, le Honor Harrington nouveau est arrivé en France via les éditions l’Atalante. Fidèles au poste, c’est Florence Bury que l’on retrouve derrière la traduction de ce nouveau tome, tandis que Genkins s’occupe une fois de plus de la couverture. L’Orage Gronde est le 13e livre des aventures de Honor Harrington, David Weber y reprend le développement de sa titanesque fresque de Hard SF juste là où il l’avait laissé avec En Mission. Pas de spoil pour ne rien gâcher à ce petit plaisir inhabituel. Ce treizième livre est comme d’habitude coupé en deux dans sa traduction française par les éditions l’Atalante, mais n’ayant pas réellement vu de différence entre les deux, je n’ai pu me résoudre à en faire deux chroniques différentes. Il faut dire que contrairement aux années précédentes, les deux tomes sont relativement courts et se lisent donc un peu trop rapidement. Mais je dois avouer que je trépignais d’impatience de me lancer dans la lecture de L’Orage Gronde et que je n’ai guère pu m’en décrocher. Lire du Honor Harrington est devenu en quelques sortes mon petit plaisir coupable. Je n’arriverai pas à cerner exactement pourquoi j’adore le faire, c’est peut être ce que ressentent à un autre niveau les gens qui n’arrivent pas à décrocher de Plus Belle la Vie qui sait ? En tout cas me voilà, tournant les pages à un rythme effréné et dévorant les mots qu’a pu y laisser David Weber, avide de découvrir un peu mieux ce que l’auteur nous prépare.  Ce treizième livre ne change pas une recette qui marche, et on y retrouve beaucoup de traités sur la taille des missiles, sur les avantages de telle flotte de guerre sur telle autre. Pourquoi celle ci risque bien de l’emporter, à quel point l’allonge de celle là lui donnera l’avantage dans l’affrontement. Bref, le tout est entre coupée de longues phases de politique et de gestion de crise, comme d’habitude en somme. Et pourtant, je ne m’en lasse pas, loin de là: j’en redemande. (...) J’aurai donc lu L’Orage Gronde en quelques jours seulement, dévorant les pages les unes après les autres, allant de gestion de crise en gestion de crise. C’est un plaisir que je ne m’explique pas et que l’on ne peut connaître qu’en s’étant lancé dans l’aventure. Pour ceux qui n’ont pas encore sauté le pas et qui ne veulent pas commencer par le premier tome, je continuerai de conseiller En Mission. Pour les autres, et bien, à l’année prochaine !   DabYo

Weber - L'orage gronde (T. 1 et T. 2) - If si dead

Comme chaque année depuis un certain temps maintenant, le Honor Harrington nouveau est arrivé en France via les éditions l’Atalante. Fidèles au poste, c’est Florence Bury que l’on retrouve derrière la traduction de ce nouveau tome, tandis que Genkins s’occupe une fois de plus de la couverture. L’Orage Gronde est le 13e livre des aventures de Honor Harrington, David Weber y reprend le développement de sa titanesque fresque de Hard SF juste là où il l’avait laissé avec En Mission. Pas de spoil pour ne rien gâcher à ce petit plaisir inhabituel.

Ce treizième livre est comme d’habitude coupé en deux dans sa traduction française par les éditions l’Atalante, mais n’ayant pas réellement vu de différence entre les deux, je n’ai pu me résoudre à en faire deux chroniques différentes. Il faut dire que contrairement aux années précédentes, les deux tomes sont relativement courts et se lisent donc un peu trop rapidement. Mais je dois avouer que je trépignais d’impatience de me lancer dans la lecture de L’Orage Gronde et que je n’ai guère pu m’en décrocher.

Lire du Honor Harrington est devenu en quelques sortes mon petit plaisir coupable. Je n’arriverai pas à cerner exactement pourquoi j’adore le faire, c’est peut être ce que ressentent à un autre niveau les gens qui n’arrivent pas à décrocher de Plus Belle la Vie qui sait ? En tout cas me voilà, tournant les pages à un rythme effréné et dévorant les mots qu’a pu y laisser David Weber, avide de découvrir un peu mieux ce que l’auteur nous prépare. 

Ce treizième livre ne change pas une recette qui marche, et on y retrouve beaucoup de traités sur la taille des missiles, sur les avantages de telle flotte de guerre sur telle autre. Pourquoi celle ci risque bien de l’emporter, à quel point l’allonge de celle là lui donnera l’avantage dans l’affrontement. Bref, le tout est entre coupée de longues phases de politique et de gestion de crise, comme d’habitude en somme. Et pourtant, je ne m’en lasse pas, loin de là: j’en redemande. (...)

J’aurai donc lu L’Orage Gronde en quelques jours seulement, dévorant les pages les unes après les autres, allant de gestion de crise en gestion de crise. C’est un plaisir que je ne m’explique pas et que l’on ne peut connaître qu’en s’étant lancé dans l’aventure. Pour ceux qui n’ont pas encore sauté le pas et qui ne veulent pas commencer par le premier tome, je continuerai de conseiller En Mission. Pour les autres, et bien, à l’année prochaine !  

DabYo

Publié le 12 avril 2013

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