Un nouveau « Weber » qui sort chez nos amis de l’Atalante, c’est l’assurance de passer un excellent moment de S-F. Une magnifique couverture de Genkis commence par nous flatter l’œil et nous offrir déjà un avant goût de ce que va être notre voyage. La quatrième de couverture est alléchante et s’enrichit d‘une citation de l’auteur sur son roman. A elle seule cette quatrième vous livre la totalité de ce qui vous attend dans ce roman, enfin vous allèche pour vous donner l’envie impérieuse de l’ouvrir sans plus tarder. La traduction de Franck Reichert est un plaisir et il a su à la perfection garder l’esprit de Weber. Le style est rapide et incisif. Les personnages sont toujours explorés aussi en profondeur que d’habitude par Weber. Pas de mise en place longue et insipide, on plonge immédiatement au cœur de l’action, et ce sera tout du long un enchaînement d’actions. Bien entendu comme d’habitude chez David Weber, nous avons aussi droit à une réflexion sur l’humanité et sur son comportement face à des extraterrestres. Une réflexion qui permettra aux fans d’Honor Harrington de comparer les idées d’une spatiale du futur à l’aulne de celle d’un modeste baron anglais de la fin du Moyen Age. Nous, les Français, sommes bien servis dans la dérision par Weber, au point que je me demande s’il n’a pas des ancêtres de pure souche anglaise (Gallois, Ecossais et Irlandais sont également accrochés par l’auteur). Le roman se termine sur un affrontement apocalyptique auquel personnellement je ne m’attendais pas du tout, et à mon avis demande une suite, car de mon côté je veux savoir ce qu’il advient des héros de cet opus dans le futur. Bref du grand, du très grand David Weber !   Deuskin - Mythologica

Weber - L'option excalibur - Mythologica

Un nouveau « Weber » qui sort chez nos amis de l’Atalante, c’est l’assurance de passer un excellent moment de S-F.

Une magnifique couverture de Genkis commence par nous flatter l’œil et nous offrir déjà un avant goût de ce que va être notre voyage. La quatrième de couverture est alléchante et s’enrichit d‘une citation de l’auteur sur son roman. A elle seule cette quatrième vous livre la totalité de ce qui vous attend dans ce roman, enfin vous allèche pour vous donner l’envie impérieuse de l’ouvrir sans plus tarder.

La traduction de Franck Reichert est un plaisir et il a su à la perfection garder l’esprit de Weber. Le style est rapide et incisif. Les personnages sont toujours explorés aussi en profondeur que d’habitude par Weber.

Pas de mise en place longue et insipide, on plonge immédiatement au cœur de l’action, et ce sera tout du long un enchaînement d’actions. Bien entendu comme d’habitude chez David Weber, nous avons aussi droit à une réflexion sur l’humanité et sur son comportement face à des extraterrestres. Une réflexion qui permettra aux fans d’Honor Harrington de comparer les idées d’une spatiale du futur à l’aulne de celle d’un modeste baron anglais de la fin du Moyen Age.

Nous, les Français, sommes bien servis dans la dérision par Weber, au point que je me demande s’il n’a pas des ancêtres de pure souche anglaise (Gallois, Ecossais et Irlandais sont également accrochés par l’auteur).

Le roman se termine sur un affrontement apocalyptique auquel personnellement je ne m’attendais pas du tout, et à mon avis demande une suite, car de mon côté je veux savoir ce qu’il advient des héros de cet opus dans le futur.

Bref du grand, du très grand David Weber !

 

Deuskin - Mythologica

Publié le 14 avril 2011

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