Voici un nouvel ouvrage de Carina Rosenfeld que l’on ne peut que dévorer et adorer. On retrouve un des thèmes à la mode dans la littérature jeunesse du moment : changer d’univers ou d’espace temps. Mais bien plus, c’est aussi une réflexion sur le travail de l’écrivain. On peut y lire ce qu’aurait pu être ce livre, deviner ce qu’il ne sera pas et surtout attendre avec impatience ce qu’il deviendra dans le second volume. En un mot, c’est une écriture très maligne.[...] Un récit captivant, alerte, rythmé, en bref un petit délice. Un décor magnifiquement décrit, des héros attachants. On notera un écho à Pullman ici ce ne sont pas des « démons » qui peuplent l’univers parallèle mais des « lymbiotes », des créatures intelligentes qui communiquent par télépathie uniquement avec un seul être, leur double humain, eux aussi ont un rôle plus qu’important dans la trame mais je n’en dis pas plus à leur sujet… Quant au « méchant », il est cruel, retors, manipulateur, fou aussi tel qu’il marque l’imagination. Vivement la suite.À déguster sans modération… On peut lire ce roman dès le CM2 pour bons lecteurs.

Rozenfeld - Les portes de Doregon - Boojum

Voici un nouvel ouvrage de Carina Rosenfeld que l’on ne peut que dévorer et adorer. On retrouve un des thèmes à la mode dans la littérature jeunesse du moment : changer d’univers ou d’espace temps. Mais bien plus, c’est aussi une réflexion sur le travail de l’écrivain. On peut y lire ce qu’aurait pu être ce livre, deviner ce qu’il ne sera pas et surtout attendre avec impatience ce qu’il deviendra dans le second volume. En un mot, c’est une écriture très maligne.

[...] Un récit captivant, alerte, rythmé, en bref un petit délice. Un décor magnifiquement décrit, des héros attachants. On notera un écho à Pullman ici ce ne sont pas des « démons » qui peuplent l’univers parallèle mais des « lymbiotes », des créatures intelligentes qui communiquent par télépathie uniquement avec un seul être, leur double humain, eux aussi ont un rôle plus qu’important dans la trame mais je n’en dis pas plus à leur sujet… Quant au « méchant », il est cruel, retors, manipulateur, fou aussi tel qu’il marque l’imagination. Vivement la suite.

À déguster sans modération… On peut lire ce roman dès le CM2 pour bons lecteurs.

Publié le 20 janvier 2011

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