« Habituellement, je suis plutôt essais littéraires, mais j’aime les univers bien marqués, quand il y a une vraie identité dans l’écriture. Je sens dans les premières pages d’Anomalie P une mélancolie, camouflée, une exposition de petites choses prêtes à exploser, ça m’interpelle ». Harry est le premier dans la librairie l’Atalante, ce samedi à 15h. À 41 ans, ce Parisien est venu à Nantes pour se faire dédicacer son ouvrage par l’auteur : Stéphane Pajot. Un nom bien connu de nos lecteurs. Journaliste à Presse Océan, écrivain, collectionneur, dénicheur d’histoires insolites, Stéphane Pajot signe ici un nouveau polar « Anomalie P » sorti jeudi dernier. Olli, Nantaise de 49 ans, attend son tour. Fan des livres de Stéphane concernant la cité des ducs et Jacques Tati, Olli est curieuse de découvrir cette nouvelle histoire. Un meurtre sur fond de trafic de drogue, des pêcheurs de grenouilles polydactyles, un marié noyé, une chute lente dans la marginalité…  « Âmes insensibles et esprits étroits s’abstenir », prévient l’auteur. David, lui, est venu en famille. « J’ai lu son Poulpe [Aztèques freaks NDLR]. Ses histoires ont un côté surréaliste qui me plaît, confie le Nantais de 45 ans. Ce n’est pas du polar pur, c’est aussi poétique, avec des notes d’humour ». Stéphane Pajot enchaîne les dédicaces.

Pajot - Anomalie P. - Presse Océan

« Habituellement, je suis plutôt essais littéraires, mais j’aime les univers bien marqués, quand il y a une vraie identité dans l’écriture. Je sens dans les premières pages d’Anomalie P une mélancolie, camouflée, une exposition de petites choses prêtes à exploser, ça m’interpelle ». Harry est le premier dans la librairie l’Atalante, ce samedi à 15h. À 41 ans, ce Parisien est venu à Nantes pour se faire dédicacer son ouvrage par l’auteur : Stéphane Pajot.

Un nom bien connu de nos lecteurs. Journaliste à Presse Océan, écrivain, collectionneur, dénicheur d’histoires insolites, Stéphane Pajot signe ici un nouveau polar « Anomalie P » sorti jeudi dernier. Olli, Nantaise de 49 ans, attend son tour. Fan des livres de Stéphane concernant la cité des ducs et Jacques Tati, Olli est curieuse de découvrir cette nouvelle histoire. Un meurtre sur fond de trafic de drogue, des pêcheurs de grenouilles polydactyles, un marié noyé, une chute lente dans la marginalité…  « Âmes insensibles et esprits étroits s’abstenir », prévient l’auteur.

David, lui, est venu en famille. « J’ai lu son Poulpe [Aztèques freaks NDLR]. Ses histoires ont un côté surréaliste qui me plaît, confie le Nantais de 45 ans. Ce n’est pas du polar pur, c’est aussi poétique, avec des notes d’humour ». Stéphane Pajot enchaîne les dédicaces.
Publié le 3 octobre 2014

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