La première chose à dire sur Anne Larue c’est bel et bien qu’elle sait mixer les références de manière particulièrement impressionnante. En effet La Vestale du Calix est une suite de références assez impressionnante aux différents romans, films, musiques de l’imaginaire qui ont fait la culture de l’auteure. Et son roman va s’avérer être un véritable melting-pot de tout ce qu’il est possible de trouver en matière d’imaginaire. Chez beaucoup d’auteurs cela aurait tourné au grand n’importe quoi décousu et sas intérêt mais pourtant Anne Larue a parfaitement su maîtriser son sujet, ses élans littéraires, pour nous proposer un roman particulièrement étonnant, réellement passionnant. Personnellement, j’ai eu du mal à rentrer dans le roman. Le prologue et les deux premiers chapitres m’ont paru un peu longs mais une fois entré dans le vif du sujte, une fois que je me suis vraiment pris au jeu j’ai pu apprécier tout le talent de cette auteure surprenante. Celle-ci parvient en l’espace de quelques pages à retourner les situations plusieurs fois, à prendre le lecteur au dépourvu, à changer même l’échelle temporelle à laquelle pensait le lecteur. Ce type de performance littéraire est assez impressionnant pour être relevé car il m’a rarement été donné de voir une telle maîtrise chez les auteurs français de science-fiction. Le style d’Anne Larue se prête particulièrement bien au type de roman qu’elle nous propose ici. En effet l’écriture est fluide, simple mais reste immersive. Rien à redire sur ce point. Difficilement classable, le roman d’Anne Larue apparaît comme un OVNI dans le ciel imaginaire français. Empli de références plus passionnantes les unes que les autres, doté d’un scénario aux multiples rebondissements, d’un humour assez décapant, d’une écriture fluide, La Vestale du Calix est un de ces romans de science-fiction qui s’adore ou se déteste. Mais en aucun cas il ne vous laissera indifférent… Mythologica - Deuskin

Larue - La vestale du calix - mythologica

La première chose à dire sur Anne Larue c’est bel et bien qu’elle sait mixer les références de manière particulièrement impressionnante. En effet La Vestale du Calix est une suite de références assez impressionnante aux différents romans, films, musiques de l’imaginaire qui ont fait la culture de l’auteure. Et son roman va s’avérer être un véritable melting-pot de tout ce qu’il est possible de trouver en matière d’imaginaire. Chez beaucoup d’auteurs cela aurait tourné au grand n’importe quoi décousu et sas intérêt mais pourtant Anne Larue a parfaitement su maîtriser son sujet, ses élans littéraires, pour nous proposer un roman particulièrement étonnant, réellement passionnant.

Personnellement, j’ai eu du mal à rentrer dans le roman. Le prologue et les deux premiers chapitres m’ont paru un peu longs mais une fois entré dans le vif du sujte, une fois que je me suis vraiment pris au jeu j’ai pu apprécier tout le talent de cette auteure surprenante. Celle-ci parvient en l’espace de quelques pages à retourner les situations plusieurs fois, à prendre le lecteur au dépourvu, à changer même l’échelle temporelle à laquelle pensait le lecteur. Ce type de performance littéraire est assez impressionnant pour être relevé car il m’a rarement été donné de voir une telle maîtrise chez les auteurs français de science-fiction. Le style d’Anne Larue se prête particulièrement bien au type de roman qu’elle nous propose ici. En effet l’écriture est fluide, simple mais reste immersive. Rien à redire sur ce point.

Difficilement classable, le roman d’Anne Larue apparaît comme un OVNI dans le ciel imaginaire français. Empli de références plus passionnantes les unes que les autres, doté d’un scénario aux multiples rebondissements, d’un humour assez décapant, d’une écriture fluide, La Vestale du Calix est un de ces romans de science-fiction qui s’adore ou se déteste. Mais en aucun cas il ne vous laissera indifférent…

Mythologica - Deuskin

Publié le 21 novembre 2011

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