Dans ce monde inspiré de l’Italie de la Renaissance, Guy Gavriel Kay compose une épopée fantastique d’une puissance et d’une originalité rares. Les passions humaines et politiques y vibrent à la mesure d’un grand roman d’aventures pathétique, qui se lit aussi comme une métaphore de l’impérialisme, de l’occupation, de l’exil en son propre pays et de la lutte de libération.