J'aime toujours autant lire du Pratchett, chose que mon homme apprécie moins, vu qu'il se fait souvent réveiller parce que je suis morte de rire. Enfin, à force il s'habitue. Cet épisode des Annales nous conte l'arrivée du roc (du rock quoi) à Ank-Morpok mais aussi le départ de la Mort pour oublier et l'arrivée de Suzanne, sa petite fille en tant que Mort. Oui comme ça, ça à un peu l'air compliqué. Mais comme toujours avec Pratchett, tout fini par se regrouper. Commençons par le départ de la Mort. Il veut oublier, chose qui ne lui est pas possible. Il a d'ailleurs une si bonne mémoire, qu'il se souvient du futur. Mais voilà, la mort de sa fille et de son gendre ne l'aide pas et il décide de tout faire pour oublier. Il quitte encore son boulot et s'en va oublier. Forcément, son départ engendre une nouvelle Mort, Suzanne, sa petite fille (faut pas faire attention à la généalogie de la famille de la Mort, ça donne mal à la tête). Suzanne possède beaucoup de pouvoir de son grand-père, dont la VOIX et le fait de paraitre invisible si elle le veut. Sauf que Suzanne est humaine et que le boulot de la Mort, elle ne le comprend pas vraiment. Encore moins lorsqu'elle doit tuer un jeune barde, qui joue ce qui va devenir la musique roc. Dans cet épisode, nous retrouvons donc la Mort, toujours aussi drôle. Je crois d'ailleurs que c'est le personnage le plus drôle des Annales. Nous rencontrons aussi Suzanne, sa petite fille (que vous connaissez peut-être si comme moi, vous avez lu Le Père Porcher ). Nous avons aussi les mages, est autant dire, ils m'ont fait rire à redevenir des ados rebelles en écoutant le roc. Nous avons aussi le Groupe de roc, composé d'un nain, d'un troll et de Kresken dit Buddy. Buddy qui est l'homme que Suzanne veut sauver et par qui tout commence. L'histoire est agréable, divisée entre la Mort, Suzanne, les mages et le Groupe de Roc. Les dialogues sont toujours aussi succulents, surtout avec l'arrivé de Planteur en agent ou encore les dialogues des mages, enfin de Ridculle et des autres mages. D'ailleurs, Ridculle fait partie des seuls mages qui n'est pas atteint par le roc. Comme toujours avec Pratchett, nous avons une petite critique, ici sur le rock mais aussi sur la vie et la mort et l'oubli. C'est toujours aussi bien mené et on ne s'ennuie absolument pas. J'ai même trouvé Suzanne moins chiante que dans Le Père Porcher et je crois que c'est mon épisode préféré des mages (le doyen, mon dieu, le doyen !), ils sont carrément plus à l'ouest que d'habitude et j'adore. Finalement, c'est un petit avis que je donne. C'est encore un bon livre des annales, un très bon même. Il est rempli de bon jeux de mot, surtout pour les noms des groupes de roc naissant (on retrouve les Houes par exemple ou Pierre qui roule). Et puis il y a la Mort et pour moi, ça fait tout le livre. Imaginez donc la Mort qui s'engage dans la légion étrangère ou qui va se saouler comme un malade au bar du coin. Donc, je conseille bien sur ce livre et vivement que je retourne dans le Disque Monde ! Orianne La Pile à lire

Pratchett - Accros du roc - La Pile à lire

J'aime toujours autant lire du Pratchett, chose que mon homme apprécie moins, vu qu'il se fait souvent réveiller parce que je suis morte de rire. Enfin, à force il s'habitue. Cet épisode des Annales nous conte l'arrivée du roc (du rock quoi) à Ank-Morpok mais aussi le départ de la Mort pour oublier et l'arrivée de Suzanne, sa petite fille en tant que Mort. Oui comme ça, ça à un peu l'air compliqué. Mais comme toujours avec Pratchett, tout fini par se regrouper.

Commençons par le départ de la Mort. Il veut oublier, chose qui ne lui est pas possible. Il a d'ailleurs une si bonne mémoire, qu'il se souvient du futur. Mais voilà, la mort de sa fille et de son gendre ne l'aide pas et il décide de tout faire pour oublier. Il quitte encore son boulot et s'en va oublier. Forcément, son départ engendre une nouvelle Mort, Suzanne, sa petite fille (faut pas faire attention à la généalogie de la famille de la Mort, ça donne mal à la tête). Suzanne possède beaucoup de pouvoir de son grand-père, dont la VOIX et le fait de paraitre invisible si elle le veut. Sauf que Suzanne est humaine et que le boulot de la Mort, elle ne le comprend pas vraiment. Encore moins lorsqu'elle doit tuer un jeune barde, qui joue ce qui va devenir la musique roc.

Dans cet épisode, nous retrouvons donc la Mort, toujours aussi drôle. Je crois d'ailleurs que c'est le personnage le plus drôle des Annales. Nous rencontrons aussi Suzanne, sa petite fille (que vous connaissez peut-être si comme moi, vous avez lu Le Père Porcher ). Nous avons aussi les mages, est autant dire, ils m'ont fait rire à redevenir des ados rebelles en écoutant le roc. Nous avons aussi le Groupe de roc, composé d'un nain, d'un troll et de Kresken dit Buddy. Buddy qui est l'homme que Suzanne veut sauver et par qui tout commence.

L'histoire est agréable, divisée entre la Mort, Suzanne, les mages et le Groupe de Roc. Les dialogues sont toujours aussi succulents, surtout avec l'arrivé de Planteur en agent ou encore les dialogues des mages, enfin de Ridculle et des autres mages. D'ailleurs, Ridculle fait partie des seuls mages qui n'est pas atteint par le roc.

Comme toujours avec Pratchett, nous avons une petite critique, ici sur le rock mais aussi sur la vie et la mort et l'oubli. C'est toujours aussi bien mené et on ne s'ennuie absolument pas. J'ai même trouvé Suzanne moins chiante que dans Le Père Porcher et je crois que c'est mon épisode préféré des mages (le doyen, mon dieu, le doyen !), ils sont carrément plus à l'ouest que d'habitude et j'adore.

Finalement, c'est un petit avis que je donne. C'est encore un bon livre des annales, un très bon même. Il est rempli de bon jeux de mot, surtout pour les noms des groupes de roc naissant (on retrouve les Houes par exemple ou Pierre qui roule). Et puis il y a la Mort et pour moi, ça fait tout le livre. Imaginez donc la Mort qui s'engage dans la légion étrangère ou qui va se saouler comme un malade au bar du coin.

Donc, je conseille bien sur ce livre et vivement que je retourne dans le Disque Monde !

Orianne
La Pile à lire

Publié le 1 août 2012