Alors que tensions locales et comportements individuels se multiplient, l'auteur explique dans cet essai que l'urbanisme doit rester un "Bien commun".
Il prône une meilleure gestion des différents temps inhérents à l'acte d'aménagement, la conception des espaces à partir de l'habitant et de ses ressentis et sa nécessaire participation au processus du projet.