Eschbach - Le dernier de son espèce - Ô Grimoire
« L’espace d’un moment, je me sentis étrangement vulnérable, à la limite de la fragilité. La batterie oscillait à chacun de mes pas ; mon turbocoeur, résolument inutile, me paraissait lui aussi curieusement présent. Tout cet attirail semblait prêt à déserter mon organisme pour dégringoler à terre. »
Andreas Eschbach, Le dernier de son espèce, L’Atalante, chapitre 3, 2014.
Motivations initiales
J’avais apprécié Des milliards de tapis de cheveux, aimé l’idée centrale de Jésus vidéo. Bref, dès...