Orson Scott Card est, depuis une génération, l'un des très grands noms de la littérature de science-fiction américaine. On le découvrit en France il y a une trentaine d'année, lors de la parution de son second roman, Une planète nommée Trahison, fort prometteur. Depuis, une quarantaine d'ouvrages plus tard (dont la fort belle série d'Alvin le Faiseur, parue chez L'Atalante), Orson Scott Card a fait du chemin... et des progrès. D'où la nécessité de se repencher sur cette planète Trahison, imparfaite à ses yeux : le résultat est une réécriture complète de l'ouvrage enfin pleinement abouti. Et l'on découvrira (ou retrouvera) la redoutable planète d'exil, d'où, en principe, on ne se sauve pas, augmentée, outre une intrigue foisonnante, de sujets plus que jamais d'actualité, des complots politiques aux conflits économiques en passant par les maniulations génétiques. Un ouvrage brilliant, échevelé et lucide, par une plume à ne pas ignorer. Christian Robin, Le Courrier français, 1er août 2008 

Card - Trahison - Le Courrier Français

Orson Scott Card est, depuis une génération, l'un des très grands noms de la littérature de science-fiction américaine. On le découvrit en France il y a une trentaine d'année, lors de la parution de son second roman, Une planète nommée Trahison, fort prometteur.

Depuis, une quarantaine d'ouvrages plus tard (dont la fort belle série d'Alvin le Faiseur, parue chez L'Atalante), Orson Scott Card a fait du chemin... et des progrès. D'où la nécessité de se repencher sur cette planète Trahison, imparfaite à ses yeux : le résultat est une réécriture complète de l'ouvrage enfin pleinement abouti. Et l'on découvrira (ou retrouvera) la redoutable planète d'exil, d'où, en principe, on ne se sauve pas, augmentée, outre une intrigue foisonnante, de sujets plus que jamais d'actualité, des complots politiques aux conflits économiques en passant par les maniulations génétiques. Un ouvrage brilliant, échevelé et lucide, par une plume à ne pas ignorer.

Christian Robin, Le Courrier français, 1er août 2008 

Publié le 8 août 2008