(...) La fantasy de Russel met en scène des périodes révolues avec souvent plus de réalisme que des romans historiques. Ici, la transposition du siècle des Lumières dans ce cadre éxotique constitue le charme et l'riginalité de ce roman. Il s'agit de Lumières anglaises, moins rigides que les françaises dans leurs convictions, sur lesquelles planent les ombres de Darwin et du Tristram Shandy de Sterne. Les savantes discussions sur les sciences et la nature du monde, qui débouchent parfois sur de discrètes allusions aux dangers économiques et écologieques du progrès, enrichissent de subtils éclairages les tableaux de ces péripéties et ne les redent que plus passionnants. On ne peut qu'être concquis par la subtile intelligence de ce premier volume.   Claude Ecken, Galaxies, printemps 2005 

Russell - Un monde sans fin - Galaxies
(...) La fantasy de Russel met en scène des périodes révolues avec souvent plus de réalisme que des romans historiques. Ici, la transposition du siècle des Lumières dans ce cadre éxotique constitue le charme et l'riginalité de ce roman. Il s'agit de Lumières anglaises, moins rigides que les françaises dans leurs convictions, sur lesquelles planent les ombres de Darwin et du Tristram Shandy de Sterne. Les savantes discussions sur les sciences et la nature du monde, qui débouchent parfois sur de discrètes allusions aux dangers économiques et écologieques du progrès, enrichissent de subtils éclairages les tableaux de ces péripéties et ne les redent que plus passionnants. On ne peut qu'être concquis par la subtile intelligence de ce premier volume.
 
Claude Ecken, Galaxies, printemps 2005 
Publié le 17 juin 2009

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