Comme vous le savez il y a quelques semaines je décidais de me replonger dans ce cycle dont j'avais découvert quelques tomes il y a des années. (...) Normalement les tomes des Annales sont des tomes indépendants, sauf pour ces deux premiers tomes qui représentent, selon moi, un double tome d'introduction à l'univers présenté par l'auteur. On retrouve donc dans ce second tome Deuxfleurs, le touriste, ainsi que Le Bagage et leur guide Rincevent le Mage (enfin presque) pour la suite de leurs péripéties. Et je dois dire que ce second tome est la hauteur du premier tout aussi loufoque et déjanté du début à la fin. On ne s'ennuie pas un seul instant. L'histoire de ce second tome reste totalement cohérente, telle une véritable histoire de fantasy, mais dont l'auteur se serait amusé à détourner les codes pour les rendre loufoques, absurdes et complètement déjantés. Tous les personnages passent à la moulinette de l'humour de l'auteur que ce soit les sorciers, les barbares, les trolls etc... et vous ne verez plus ces catégories de la même façon. Les situations toutes plus délirantes les unes que les autres s'alignent de façon cohérentes avec l'histoire et on ne peut s'empêcher de sourire voir même de rigoler. Les personnages se révèlent toujours hauts en couleur que ce soit Rincevent toujours aussi lâche mais qui va gagner en confiance au fil des pages ou encore Deuxfleurs, le véritable touriste de base qui pense que rien ne peut lui arriver. Des nouveaux personnages apparaissent tel Cohen le Barbare qui, par sa description, va donner un sacré coup à la vision qu'on se fait des barbares mais qui se révèle héroïque ou encore Herrena qui a refusé de choisir la seule vocation pour une femme qui est d'être secrétaire pour devenir mercenaire ou encore la vierge Bethan. Ils sont tous plus loufoques les uns que les autres mais j'avoue que mon préféré, et je sais ne pas être le seul, est La Mort, froide, calculatrice et pleine de jeux de mots absurdes. Alors après comme je l'ai déjà dis il faut accrocher à l'humour British mis en place par l'auteur sous peine de complètement passer à côté de cet oeuvre. La plume de l'auteur se révèle fluide et plaisante construisant une histoire logique tout en alignant les situations absurdes. (...)  L'auteur nous tient en haleine du début à la fin avec ces situations absurdes où l'auteur reprend les clichés et classiques de la fantasy pour offrir au lecteur des situations pleine d'humour et totalement délirantes. (...) Blackwolf

Pratchett - Le huitième sortilège - Blog-o-livres

Comme vous le savez il y a quelques semaines je décidais de me replonger dans ce cycle dont j'avais découvert quelques tomes il y a des années. (...) Normalement les tomes des Annales sont des tomes indépendants, sauf pour ces deux premiers tomes qui représentent, selon moi, un double tome d'introduction à l'univers présenté par l'auteur. On retrouve donc dans ce second tome Deuxfleurs, le touriste, ainsi que Le Bagage et leur guide Rincevent le Mage (enfin presque) pour la suite de leurs péripéties. Et je dois dire que ce second tome est la hauteur du premier tout aussi loufoque et déjanté du début à la fin. On ne s'ennuie pas un seul instant.

L'histoire de ce second tome reste totalement cohérente, telle une véritable histoire de fantasy, mais dont l'auteur se serait amusé à détourner les codes pour les rendre loufoques, absurdes et complètement déjantés. Tous les personnages passent à la moulinette de l'humour de l'auteur que ce soit les sorciers, les barbares, les trolls etc... et vous ne verez plus ces catégories de la même façon. Les situations toutes plus délirantes les unes que les autres s'alignent de façon cohérentes avec l'histoire et on ne peut s'empêcher de sourire voir même de rigoler.

Les personnages se révèlent toujours hauts en couleur que ce soit Rincevent toujours aussi lâche mais qui va gagner en confiance au fil des pages ou encore Deuxfleurs, le véritable touriste de base qui pense que rien ne peut lui arriver. Des nouveaux personnages apparaissent tel Cohen le Barbare qui, par sa description, va donner un sacré coup à la vision qu'on se fait des barbares mais qui se révèle héroïque ou encore Herrena qui a refusé de choisir la seule vocation pour une femme qui est d'être secrétaire pour devenir mercenaire ou encore la vierge Bethan. Ils sont tous plus loufoques les uns que les autres mais j'avoue que mon préféré, et je sais ne pas être le seul, est La Mort, froide, calculatrice et pleine de jeux de mots absurdes.

Alors après comme je l'ai déjà dis il faut accrocher à l'humour British mis en place par l'auteur sous peine de complètement passer à côté de cet oeuvre. La plume de l'auteur se révèle fluide et plaisante construisant une histoire logique tout en alignant les situations absurdes. (...)  L'auteur nous tient en haleine du début à la fin avec ces situations absurdes où l'auteur reprend les clichés et classiques de la fantasy pour offrir au lecteur des situations pleine d'humour et totalement délirantes. (...)

Blackwolf

Publié le 24 janvier 2012

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