Gloriana ou la reine inassouvie est un roman de Michael Moorcock édité pour la première fois en 1978 en langue anglaise. Il a ensuite été publié en France en 1994 par les éditions l’Atalante, puis par Folio SF en format poche en 2000. Depuis, difficile de trouver le roman puisqu’il s’est épuisé dans les deux formats, mais l’Atalante vient de le rééditer dans sa superbe édition. C’est à cette occasion que nous vous en faisons une critique. Petit synopsis ? Gloriana ou la Reine Inassouvie Age d’Or d’Albion, Gloriana règne sans partage sur le pays et son empire, Virginie, Indes, etc… Après le règne tragique et sanglant de son père, Hern, Gloriana règne avec un idéal de paix, de nuances et d’amour. Bien entendu, dans l’ombre, ses conseillers se salissent quelque peu les mains sans lui dire car il faut protéger cette reine qui n’est pas loin d’être une déesse. Mais le soir, Gloriana rentre dans ses appartements, et joue le véritable drame de sa vie. En effet, la reine ne réussit pas a avoir l’Orgasme, elle reste inassouvie. Bon, avec une chute de synopsis pareil, vous ne pouvez que mourir d’envie de le lire. Et en effet, vous devriez le lire. Ce roman tiens une place a part dans l’univers de Moorcock. Vous connaissez sans doute son Elric, qui fait partie des classiques de la Fantasy. Elric a un statut assez particulier ici sur iiD, vu que c’est une des rares sagas qui divise les fondateurs. Moi j’adore, dabYo déteste. Cependant sachez que le style de Gloriana est très très différent de celui d’Elric. Tout d’abord par sa manière d’amener l’histoire mais aussi par la plume elle même. Est-ce du au traducteur ? Il faut dire que le titre a été traduit par Patrick Couton, l’excellent traducteur des Annales du Disque-Monde, un gage de qualité à lui seul. Je ne sais pas, mais j’ai trouvé le style ici bien plus léger, gai, et drôle. J’ai eu a plusieurs moment l’impression d’être dans une pièce de théâtre. (...)

Moorcok - Gloriana - if is Dead
Gloriana ou la reine inassouvie est un roman de Michael Moorcock édité pour la première fois en 1978 en langue anglaise. Il a ensuite été publié en France en 1994 par les éditions l’Atalante, puis par Folio SF en format poche en 2000. Depuis, difficile de trouver le roman puisqu’il s’est épuisé dans les deux formats, mais l’Atalante vient de le rééditer dans sa superbe édition. C’est à cette occasion que nous vous en faisons une critique. Petit synopsis ? Gloriana ou la Reine Inassouvie Age d’Or d’Albion, Gloriana règne sans partage sur le pays et son empire, Virginie, Indes, etc… Après le règne tragique et sanglant de son père, Hern, Gloriana règne avec un idéal de paix, de nuances et d’amour. Bien entendu, dans l’ombre, ses conseillers se salissent quelque peu les mains sans lui dire car il faut protéger cette reine qui n’est pas loin d’être une déesse. Mais le soir, Gloriana rentre dans ses appartements, et joue le véritable drame de sa vie. En effet, la reine ne réussit pas a avoir l’Orgasme, elle reste inassouvie. Bon, avec une chute de synopsis pareil, vous ne pouvez que mourir d’envie de le lire. Et en effet, vous devriez le lire. Ce roman tiens une place a part dans l’univers de Moorcock. Vous connaissez sans doute son Elric, qui fait partie des classiques de la Fantasy. Elric a un statut assez particulier ici sur iiD, vu que c’est une des rares sagas qui divise les fondateurs. Moi j’adore, dabYo déteste. Cependant sachez que le style de Gloriana est très très différent de celui d’Elric. Tout d’abord par sa manière d’amener l’histoire mais aussi par la plume elle même. Est-ce du au traducteur ? Il faut dire que le titre a été traduit par Patrick Couton, l’excellent traducteur des Annales du Disque-Monde, un gage de qualité à lui seul. Je ne sais pas, mais j’ai trouvé le style ici bien plus léger, gai, et drôle. J’ai eu a plusieurs moment l’impression d’être dans une pièce de théâtre. (...)
Publié le 2 février 2010