À travers les forêts de Septenaigue, l’auteur nous entraîne à nouveau dans ces contes celtiques tissés de légendes et de brume, avec non moins de talent que les druides auxquels elle prête la magie des mots. Et c’est bien de magie qu’il s’agit puisque c’est le lecteur qui est pris dans l’enchantement. Coup de chapeau à la traductrice, Hélène Bury, d’ailleurs.
Heureusement, le second tome est déjà paru car c’est un usage tout à fait discourtois que d’interrompre les bardes ou les magiciens en plein milieu du conte. Les élégantes illustrations de couverture dues à Benjamin Carré, constituent quand même une petite consolation.
Vite, que je me plonge dans le deuxième tome ! Avec maintenant une question supplémentaire : à quand le troisième roman annoncé ?
Hélène