N'ayant jamais lu de science-fiction dans ma vie autre que The Postman de David Brin, quelle surprise pour moi de découvrir mon premier vrai livre de SF : La Fraternité du Panca de Pierre Bordage. J'ai découvert à mon grand bonheur un space-opera où se mêlent loyauté, déchirement et l'amour. Après le mythe du sphinx, nous découvrons un animal à l'origine d'une société secrète interstellaire : le penthale mythique. Notre héros, un des maillons d'une chaîne de quinte de cette société secrète doit tout quitter afin de reconstituer la chaîne de quinte car le monde est en péril. Pour moi, ce livre poignant fût une découverte car comme pour la fantasy, l'identification est immédiate et on tremble tous lors des épreuves qu'Ewen doit affronter. En tout cas, si le space-opera a cette saveur, je veux bien m'en intoxiquer plus souvent. 8,5/10 complètement subjective. Cependant le style clair, sans fioriture et fluide, fait que l'on accroche tout de suite. Arrivé à la dernière page, on reste bien sûr sur sa faim : ce qui pour moi est un superbe prémice pour une suite. Angèle, 28 novembre 2008, librairie.critic.over-blog.fr

Bordage - Frère Ewen - Critic Blog

N'ayant jamais lu de science-fiction dans ma vie autre que The Postman de David Brin, quelle surprise pour moi de découvrir mon premier vrai livre de SF : La Fraternité du Panca de Pierre Bordage. J'ai découvert à mon grand bonheur un space-opera où se mêlent loyauté, déchirement et l'amour. Après le mythe du sphinx, nous découvrons un animal à l'origine d'une société secrète interstellaire : le penthale mythique. Notre héros, un des maillons d'une chaîne de quinte de cette société secrète doit tout quitter afin de reconstituer la chaîne de quinte car le monde est en péril. Pour moi, ce livre poignant fût une découverte car comme pour la fantasy, l'identification est immédiate et on tremble tous lors des épreuves qu'Ewen doit affronter. En tout cas, si le space-opera a cette saveur, je veux bien m'en intoxiquer plus souvent.

8,5/10 complètement subjective. Cependant le style clair, sans fioriture et fluide, fait que l'on accroche tout de suite. Arrivé à la dernière page, on reste bien sûr sur sa faim : ce qui pour moi est un superbe prémice pour une suite.

Angèle, 28 novembre 2008, librairie.critic.over-blog.fr

Publié le 2 mars 2010

à propos de la même œuvre