Le grand œuvre de Saberhagen vaut le détour, mérite d’être (re)découvert et gagnerait à être plus souvent cité parmi les classiques de la science-fiction. Parce que c’en est un, de classique, bien tourné, avec du questionnement. Et une sacrée source d’inspiration pour ceux qui ont mis le nez dedans.

Saberhagen - Les Berserkers - Un K à part
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Le grand œuvre de Saberhagen vaut le détour, mérite d’être (re)découvert et gagnerait à être plus souvent cité parmi les classiques de la science-fiction. Parce que c’en est un, de classique, bien tourné, avec du questionnement. Et une sacrée source d’inspiration pour ceux qui ont mis le nez dedans.

Le monde entier connaît au moins une œuvre qui descend en droite ligne de Saberhagen. Enfin, deux, si on compte le conte du comte, la novélisation du Dracula de Francis Ford Coppola (on passera sur l’idée débile de tirer un livre d’un film lui-même adapté d’un livre…). Mais là, on parle science-fiction.


Dans Frère assassin, un berserker a l’idée géniale d’envoyer un robot à forme humaine dans le passé pour dégommer la mère d’un guerrier qui posera problème dans le futur. Pas bêtes, les humains en font autant pour le contrer.


Quinze ans après la parution du bouquin, un certain James Cameron sort un film qui marche plutôt pas mal et inaugure une autre saga de trente ans… qui n’a rien rapporté à Saberhagen, rarement cité dans les sources d’inspiration (même si là, à mon avis, on se situe plutôt dans le plagiat que dans l’inspiration…).
Terminator, rien que ça.

Par Fred K

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Publié le 7 août 2018