Un peu comme pour dans les fables Olivier Paquet nous transporte à Prague où sévit des clans criminels qui s’inspirent des divisions animales comme les loups. Et qui sont appuyés par une logistique technologique impressionnante. Le bien et le mal sont incarnés dans ce roman d’anticipation par un journaliste tchèque pourfendeur du totalitarisme et le maître des Loups. On lit Les loups de Prague comme si on avait une bande dessinée en tête. Les textes sont surchargés d’impressions très belles qui stimulent l’imaginaire du lecteur.
Daniel Rolland - Culture Hebdo