L’intersection 55 est en proie au chaos. Alors que l’armurier Xtalassar sème la destruction sur la plate-forme, Derec Finn, Rhéa, l’historien Larkam, la déesse Diane Bendix et le formicien Jarmil descendent dans les profondeur de la terre et le monde M pour tenter ce qui pourrait représenter le dernier espoir. Ils vont lancer une invocation, sensée rétablir les intersections galactiques. Et l’ordre du monde qui va avec.   Epique et fantasmagorique, cette série de science-fiction est certainement ce qui est arrivée de mieux au genre en bande dessinée dans ces dernières années. Inventif, intelligent, sortant du conventionnel et des clichés, dépaysant, l’univers inventé par Serge Lehmann plaît au plus haut point. L’ensemble du jeu sur la couleur, apparaissant ou disparaissant selon les événements et en fonction du scénario, est parfaitement maîtrisé par Jean-Marie Michaud s’allie intimement à l’histoire pour donner corps et vie à cette saga épique. Cet ultime tome, déroutant et presque mystique, est l’occasion de nombreuses planches en pleine page qui sont de toute beauté. Un jeu des cases et des représentations qui vaut le détour.   Une série comme on voudrait en voir plus souvent.     Vincent Gerber Murmures 

Michaud - La saison de la couloeuvre t.3 - murmures
L’intersection 55 est en proie au chaos. Alors que l’armurier Xtalassar sème la destruction sur la plate-forme, Derec Finn, Rhéa, l’historien Larkam, la déesse Diane Bendix et le formicien Jarmil descendent dans les profondeur de la terre et le monde M pour tenter ce qui pourrait représenter le dernier espoir. Ils vont lancer une invocation, sensée rétablir les intersections galactiques. Et l’ordre du monde qui va avec.
 
Epique et fantasmagorique, cette série de science-fiction est certainement ce qui est arrivée de mieux au genre en bande dessinée dans ces dernières années. Inventif, intelligent, sortant du conventionnel et des clichés, dépaysant, l’univers inventé par Serge Lehmann plaît au plus haut point. L’ensemble du jeu sur la couleur, apparaissant ou disparaissant selon les événements et en fonction du scénario, est parfaitement maîtrisé par Jean-Marie Michaud s’allie intimement à l’histoire pour donner corps et vie à cette saga épique. Cet ultime tome, déroutant et presque mystique, est l’occasion de nombreuses planches en pleine page qui sont de toute beauté. Un jeu des cases et des représentations qui vaut le détour.
 
Une série comme on voudrait en voir plus souvent.
 
 
Vincent Gerber
Publié le 30 août 2011