Une fois de plus, Ledesma emporte, Ledesma emballe, Ledesma éblouit par son talent de narrateur. Chaque épisode de la vie policière de l'inspecteur Mendez est une joie de lecture sans cesse renouvelé. Pourtant, les sujets empruntés sont lourds et peuvent vite basculer dans le glauque et le malsain : pedophilie sur trisomique, abus sur personnes faibles, maladie incurable, toute la trash TV est réunie. Et malgré cela, Ledesma réussit à ne pas dénaturer son personnage phare. Mendez, toujours en marge de la hiérarchie, un poulpe avec une plaque de policier espagnol avec un flair qui ferait attraper un rhume au meilleur avion renifleur de pétrole. Des trois affaires éloignées a priori, on les retrouve imbriquées, en quinconce avec une facilité, une limpidité qui ne peut être que l'apanage des grands raconteurs d'histoires et Ledesma est, à coup sûr, sur le podium.

Ledesma - Il ne faut pas mourir deux fois - Radio Cité Vauban

Une fois de plus, Ledesma emporte, Ledesma emballe, Ledesma éblouit par son talent de narrateur.

Chaque épisode de la vie policière de l'inspecteur Mendez est une joie de lecture sans cesse renouvelé. Pourtant, les sujets empruntés sont lourds et peuvent vite basculer dans le glauque et le malsain : pedophilie sur trisomique, abus sur personnes faibles, maladie incurable, toute la trash TV est réunie. Et malgré cela, Ledesma réussit à ne pas dénaturer son personnage phare.

Mendez, toujours en marge de la hiérarchie, un poulpe avec une plaque de policier espagnol avec un flair qui ferait attraper un rhume au meilleur avion renifleur de pétrole. Des trois affaires éloignées a priori, on les retrouve imbriquées, en quinconce avec une facilité, une limpidité qui ne peut être que l'apanage des grands raconteurs d'histoires et Ledesma est, à coup sûr, sur le podium.

Publié le 17 janvier 2011

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