Entre roman d’espionnage à l’ancienne, avec une action débridée et un héros auquel le lecteur peut s’identifier, et roman fantastique dans lequel les phénomènes et êtres paranormaux sont monnaie courante, Les démons sont éternels proposent au lecteur un suspens de tous les instants au sein d’une aventure très bien menée. L’intrigue, bien que relativement facile, est ficelée à merveille et le lecteur ne s’ennuiera probablement à aucun moment dans ce roman. On retrouve de loin en loin à l’intérieur de ces pages des rappels des inspirations de l’auteur avec un personnage faisant penser à « Q », le génial inventeur de Ian Flemming. Il faut aussi dire que, comme à leur habitude, les éditions de l’Atalante proposent une traduction particulièrement réussie, dépourvue ou presque des coquilles que l’on trouve si régulièrement chez d’autres éditeurs… Le style de l'auteur et sa capacité à faire sourire le lecteur sans que celui-ci s'en rendent compte permet de fluidifier le récit, le rendant encore plus agréable. Parfait pour se détendre, l’été étant arrivé, ce livre à la couverture chatoyante devrait être l’un des succès de l’été en matière d’imaginaire. Prenant totalement à contrepied l’ensemble de ce qui se fait actuellement dans le genre il propose une vision très particulière de notre monde et cela n’est pas pour déplaire, loin de là… Après tout les règles établies dans les genres sont bel et bien faites pour être brisées, non ?

Green - Les démons sont éternels - Mythologica.net

Entre roman d’espionnage à l’ancienne, avec une action débridée et un héros auquel le lecteur peut s’identifier, et roman fantastique dans lequel les phénomènes et êtres paranormaux sont monnaie courante, Les démons sont éternels proposent au lecteur un suspens de tous les instants au sein d’une aventure très bien menée. L’intrigue, bien que relativement facile, est ficelée à merveille et le lecteur ne s’ennuiera probablement à aucun moment dans ce roman.

On retrouve de loin en loin à l’intérieur de ces pages des rappels des inspirations de l’auteur avec un personnage faisant penser à « Q », le génial inventeur de Ian Flemming.

Il faut aussi dire que, comme à leur habitude, les éditions de l’Atalante proposent une traduction particulièrement réussie, dépourvue ou presque des coquilles que l’on trouve si régulièrement chez d’autres éditeurs… Le style de l'auteur et sa capacité à faire sourire le lecteur sans que celui-ci s'en rendent compte permet de fluidifier le récit, le rendant encore plus agréable.

Parfait pour se détendre, l’été étant arrivé, ce livre à la couverture chatoyante devrait être l’un des succès de l’été en matière d’imaginaire. Prenant totalement à contrepied l’ensemble de ce qui se fait actuellement dans le genre il propose une vision très particulière de notre monde et cela n’est pas pour déplaire, loin de là…

Après tout les règles établies dans les genres sont bel et bien faites pour être brisées, non ?

Publié le 4 août 2009

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