Lire pendant l'été, oui mais quoi ? Le choix est parfois difficile. Et si on se laissait tenter par le coup de cœur de Gweltaz Arfur, le libraire d'Ar bed Keltiek. Pour lui ce sera de l'héroic fantasy avec Gilles Servat et son cinquième tome Le dixième jour du Branvode. « Gilles Servat est connu essentiellement comme chanteur. Mais son œuvre d'écrivain mérite d'être souligné. Son nouvel opus c'est le cinquième tome d'une série appelée Les chroniques d'Arctarus. Il s'inspire beaucoup de légendes du monde celte pour les retranscrire dans son univers imaginaire. Il prend des éléments archaïques qu'il retranscrit de manière fantaisiste, avec un talent d'écriture pertinent. Comme dans Tolkien, il existe plusieurs ouvertures, on peut accéder au cinquième tome sans trop de soucis, même si on n' a pas lu les quatre premiers. Ce sont des archétypes de guerriers, de druides, mais adaptés à la lecture actuelle. On entre dans un univers familier et exotique. On a plus envie de lâcher ce livre. » Ouest France, août 2004

Servat - Le Dixième jour du Branvode - Ouest France

Lire pendant l'été, oui mais quoi ? Le choix est parfois difficile. Et si on se laissait tenter par le coup de cœur de Gweltaz Arfur, le libraire d'Ar bed Keltiek. Pour lui ce sera de l'héroic fantasy avec Gilles Servat et son cinquième tome Le dixième jour du Branvode.

« Gilles Servat est connu essentiellement comme chanteur. Mais son œuvre d'écrivain mérite d'être souligné. Son nouvel opus c'est le cinquième tome d'une série appelée Les chroniques d'Arctarus. Il s'inspire beaucoup de légendes du monde celte pour les retranscrire dans son univers imaginaire. Il prend des éléments archaïques qu'il retranscrit de manière fantaisiste, avec un talent d'écriture pertinent. Comme dans Tolkien, il existe plusieurs ouvertures, on peut accéder au cinquième tome sans trop de soucis, même si on n' a pas lu les quatre premiers. Ce sont des archétypes de guerriers, de druides, mais adaptés à la lecture actuelle. On entre dans un univers familier et exotique. On a plus envie de lâcher ce livre. »

Ouest France, août 2004

Publié le 18 juin 2009