Les destins de Danio et d’Adria se mêlent le soir où la jeune femme vient assassiner le comte Uberto de Mylasie, un être cruel qui aime avoir de la compagnie la nuit et qui laisse des cadavres devant sa porte le lendemain matin.

Intrigues politiques, réflexions sur le pouvoir et la mémoire, Guy Gavriel Kay nous livre encore une intrigue terriblement bien construite qui nous happe dès les premières pages sans que l’on s’en rende compte.

Un univers foisonnant inspiré de l’Italie de la Renaissance avec un soupçon de fantasy et une écriture travaillée qui créent un roman envoûtant dans la même veine que les romans de Jean-Philippe Jaworski.