Avec un titre comme cela, La Flotte Perdue, vous pourriez imaginer un récit écolo-apocalyptique sur la raréfaction de nos ressources essentielles, je vous arrête tout de suite – Gendarmerie Nationale ! Papiers du véhicule et permis de conduire, s'il vous plaît ! - en fait de flotte, il s'agit des restes d'une armada de vaisseaux spatiaux de l'Alliance rescapée d'une embuscade machiavélique orchestrée par son ennemi centenaire, les mondes du Syndic. Le Capitaine Geary, récupéré par miracle dans un capsule d'hibernation après un long sommeil de presque cent ans, se retrouve malgré lui responsable de la survie des rescapés et tente de ramener les survivants à travers l'espace ennemi en jouant au chat et à la souris avec ses poursuivants. Ce deuxième tome en profite pour étoffer un peu les personnages sans vraiment rentrer dans de la psychologie pure.   Pour la forme, Campbell se contente d'un récit un peu linéaire en nous plaçant systématiquement dans la peau de notre Black Jack Geary. Cela est une bonne histoire à suivre où le lecteur ne devrait pas s'ennuyer beaucoup.   xbee

Campbell - La Flotte Perdue Téméraire - xbee
Avec un titre comme cela, La Flotte Perdue, vous pourriez imaginer un récit écolo-apocalyptique sur la raréfaction de nos ressources essentielles, je vous arrête tout de suite – Gendarmerie Nationale ! Papiers du véhicule et permis de conduire, s'il vous plaît ! - en fait de flotte, il s'agit des restes d'une armada de vaisseaux spatiaux de l'Alliance rescapée d'une embuscade machiavélique orchestrée par son ennemi centenaire, les mondes du Syndic.
Le Capitaine Geary, récupéré par miracle dans un capsule d'hibernation après un long sommeil de presque cent ans, se retrouve malgré lui responsable de la survie des rescapés et tente de ramener les survivants à travers l'espace ennemi en jouant au chat et à la souris avec ses poursuivants. Ce deuxième tome en profite pour étoffer un peu les personnages sans vraiment rentrer dans de la psychologie pure.
 
Pour la forme, Campbell se contente d'un récit un peu linéaire en nous plaçant systématiquement dans la peau de notre Black Jack Geary. Cela est une bonne histoire à suivre où le lecteur ne devrait pas s'ennuyer beaucoup.
 
Publié le 16 septembre 2011