Dans ce second volume, Bmmann nous entraîne un peu plus profondément dans les méandres d'un univers riche et foisonnant au creuset duquel l'iconologie d'un Arrthur Rackam se srait soudain donné rendez-vous avec l'esprit d'un conteur désireux de renouer avec l'essentiel d'une vie. les acteurs sont divers. que ce soit Tout-Ouïe et sa quête d'idenité, ou plutôt d'une mémoire perdue par les us et d'un temps qui semble être semblable au passage des saisons, ou bien encore celle d'oeil de pierre, nous découvrons peu à peu combien la naissance au monde noue des liaisons qui, si elles ne sont jamais abouties ao consomées jusq'au bout semblent nous suivre, inlassablement, au grès de nos errance. Très existentialiste, le conte Bemmannien n'est paq fataliste mais au moins réaliste sur certaine choses (l'esprit Grecque es passé par là) ce qui ne veut par dire simpliste ou consensuel. Trois mouvements dans ce dernier livre, trois récits qui sans s'emboîter les uns dans les autres participent de m^mes quêtes d'absolu ou de sens perdu qui soudain miroite sous l'occurence de rencontres qu ne sont que des grands retours. Retrouver quelqu'un qu'on aurait toujours connu, changer, se transformer, renaître ou plutôt s'adapter, voilà la leçon. [...] L'allemagne avec Bemmann, Ende, et quelques autres, montre qu'elle de doit rien à personne. Que ce soit uneculture populaire (Perry Rhodan, Maddrax, Dragor, Etc...) ou d'une culture préocuppée de questionnements plus universels, il semblerait que l'on redécouvre une plus grande diversité dans cette langue que ce qu'on aurait pu croire. Judicieuse réédition que voila [...]. Esperons que les éditions l'Atalante nous fassent encore de belles surprises dans un avenir proche. Superbe par Ludwine, une grande artiste dont on aimerait voir plus souvent les oeuvres sur des couvertures de livre. Science fiction magazine, Janvier/février 2010.

Bemmann - La pierre et la flûte 3 - Science fiction magazine

Dans ce second volume, Bmmann nous entraîne un peu plus profondément dans les méandres d'un univers riche et foisonnant au creuset duquel l'iconologie d'un Arrthur Rackam se srait soudain donné rendez-vous avec l'esprit d'un conteur désireux de renouer avec l'essentiel d'une vie. les acteurs sont divers. que ce soit Tout-Ouïe et sa quête d'idenité, ou plutôt d'une mémoire perdue par les us et d'un temps qui semble être semblable au passage des saisons, ou bien encore celle d'oeil de pierre, nous découvrons peu à peu combien la naissance au monde noue des liaisons qui, si elles ne sont jamais abouties ao consomées jusq'au bout semblent nous suivre, inlassablement, au grès de nos errance. Très existentialiste, le conte Bemmannien n'est paq fataliste mais au moins réaliste sur certaine choses (l'esprit Grecque es passé par là) ce qui ne veut par dire simpliste ou consensuel. Trois mouvements dans ce dernier livre, trois récits qui sans s'emboîter les uns dans les autres participent de m^mes quêtes d'absolu ou de sens perdu qui soudain miroite sous l'occurence de rencontres qu ne sont que des grands retours. Retrouver quelqu'un qu'on aurait toujours connu, changer, se transformer, renaître ou plutôt s'adapter, voilà la leçon. [...] L'allemagne avec Bemmann, Ende, et quelques autres, montre qu'elle de doit rien à personne. Que ce soit uneculture populaire (Perry Rhodan, Maddrax, Dragor, Etc...) ou d'une culture préocuppée de questionnements plus universels, il semblerait que l'on redécouvre une plus grande diversité dans cette langue que ce qu'on aurait pu croire. Judicieuse réédition que voila [...]. Esperons que les éditions l'Atalante nous fassent encore de belles surprises dans un avenir proche. Superbe par Ludwine, une grande artiste dont on aimerait voir plus souvent les oeuvres sur des couvertures de livre.

Science fiction magazine, Janvier/février 2010.

Publié le 26 janvier 2010